Mis en avant

« Nouvel Ordre Mondial » : Le Pacte Secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que je vous proposons aujourd’hui. Il est apparu sur Internet il y a 17 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Je vous offre ici la traduction française.
Le Pacte secret
Anonyme, 21 juin 2002
Traduction française : Mai 2011
• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.
• Ceux qui la verront passeront pour fous.
• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous.
Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien
vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte à goutte pour ne pas éveiller les soupçons.
Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.
• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous
connaissons les secrets de l’absolu.
• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort
viendra à celui qui parlera.
• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en
prétendant faire le contraire.
• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin
qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.
• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur
nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.
• Ils seront entourés de poison de toutes parts.
• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver
des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts mais nous les empoisonnerons toujours
plus.
• Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche et détruiront leur esprit et leur
système de reproduction.
• Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront morts nés, et nous occulterons cette
information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent,
respirent et dans les vêtements qu’ils portent.
• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard car ils ont la capacité de voir loin.
• Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et
des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront car nous les enrôlerons pour faire progresser nos
poisons.
• Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître
leurs effets véritables.
• Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les
convaincrons que c’est pour leur bien.
• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les
ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.
• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui
détruira leur mental et anéantira leur avenir.
• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront
plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons
d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.
• Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide,
nous leur donneront toujours plus de poison.
• Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se
relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs
pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.
• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous
trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.
• Nous utiliserons la peur comme une arme.
• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous
appartiendrons.
• Nous dissimulerons toujours nos objectifs mais notre Plan sera mené à son terme.
• Ils travailleront à notre place mais nous en récolterons les fruits.
• Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là
est la formule.
• Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.
• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• A travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
• Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la
mort, ce qui nous conviendra le mieux.
• Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.
• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement
et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront
bien trop occupés à s’entretuer.
• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous
considérerons propice à notre assaut.
• Nous en tirerons le plus grand bénéfice car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas
nous voir.
• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.
• Nous recommencerons encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.
• Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de
sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.
• Les outils nous seront fournis par leur travail.
• Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.
• Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça ils ne
doivent jamais le savoir !
• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours
penser qu’ils ne sont pas égaux.
• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.
• Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux
un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui
leur reste encore.
• Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera
eux ainsi que leurs enfants.
• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de
crimes et présenterons au monde une histoire différente car alors tous les médias nous
appartiendront.
• Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de
l’information.
• Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes car ils sont
encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit car ils n’auront pas d’armes.
• Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie
éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux
rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes
penseront qu’ils sont un avec nous mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais
connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.
• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques
mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la
Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.
• Ils n’atteindront jamais les Sphères Supérieures car les crimes commis contre des membres
de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le
sauront jamais.
• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne
pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop
tard.
• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos
esclaves.
• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possèdera.
Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.
• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ere de Domination.
• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies
depuis la nuit des temps.
• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE
DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre,
ils agiront.
• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait car autrement, nous n’aurons
nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes.
Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en
aide.
• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures,
car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vies.
• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la
Terre.
• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS
être rédigé ou commenté car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait
sur nous la fureur du GRAND CREATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous
venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.
Fin du texte

Vidéo ici : « Nouvel Ordre Mondial » : Le Pacte Secret

Version anglaise du texte :

THE SECRET COVENANT
« An illusion it will be, so large, so vast it will escape their perception.
Those who will see it will be thought of as insane. We will create separate fronts to prevent
them from seeing the connection between us. We will behave as if we are not connected to keep
the illusion alive. Our goal will be accomplished one drop at a time so as to never bring suspicion
upon ourselves. This will also prevent them from seeing the changes as they occur.
« We will always stand above the relative field of their experience for we know the secrets of the
absolute. We will work together always and will remain bound by blood and secrecy. Death will
come to he who speaks.
« We will keep their lifespan short and their minds weak while pretending to do the opposite. We
will use our knowledge of science and technology in subtle ways so they will never see what is
happening. We will use soft metals, aging accelerators and sedatives in food and water, also in
the air. They will be blanketed by poisons everywhere they turn.
The soft metals will cause them to lose their minds. We will promise to find a cure from our
many fronts, yet we will feed them more poison. The poisons will be absorbed through their skin
and mouths, they will destroy their minds and reproductive systems. From all this, their children
will be born dead, and we will conceal this information.
The poisons will be hidden in everything that surrounds them, in what they drink, eat, breathe
and wear. We must be ingenious in dispensing the poisons for they can see far. We will teach
them that the poisons are good, with fun images and musical tones. Those they look up to will
help. We will enlist them to push our poisons.
« They will see our products being used in film and will grow accustomed to them and will never
know their true effect. When they give birth we will inject poisons into the blood of their children
and convince them its for their help. We will start early on, when their minds are young, we will
target their children with what children love most, sweet things.
When their teeth decay we will fill them with metals that will kill their mind and steal their
future. When their ability to learn has been affected, we will create medicine that will make them
sicker and cause other diseases for which we will create yet more medicine. We will render them
docile and weak before us by our power. They will grow depressed, slow and obese, and when
they come to us for help, we will give them more poison.
« We will focus their attention toward money and material goods so they many never connect
with their inner self. We will distract them with fornication, external pleasures and games so they
may never be one with the oneness of it all. Their minds will belong to us and they will do as we
say. If they refuse we shall find ways to implement mind-altering technology into their lives.
We will use fear as our weapon. We will establish their governments and establish opposites
within. We will own both sides. We will always hide our objective but carry out our plan. They will
perform the labor for us and we shall prosper from their toil.
« Our families will never mix with theirs. Our blood must be pure always, for it is the way. We
will make them kill each other when it suits us. We will keep them separated from the oneness
by dogma and religion. We will control all aspects of their lives and tell them what to think and
how. We will guide them kindly and gently letting them think they are guiding themselves.
We will foment animosity between them through our factions. When a light shall shine among
them, we shall extinguish it by ridicule, or death, whichever suits us best. We will make them rip
each other’s hearts apart and kill their own children. We will accomplish this by using hate as our
ally, anger as our friend. The hate will blind them totally, and never shall they see that from their
conflicts we emerge as their rulers.
They will be busy killing each other. They will bathe in their own blood and kill their neighbors for
as long as we see fit.
« We will benefit greatly from this, for they will not see us, for they cannot see us. We will continue
toprosper from their wars and their deaths. We shall repeat this over and over until our ultimate
goal is accomplished. We will continue to make them live in fear and anger though images and
sounds. We will use all the tools we have to accomplish this. The tools will be provided by their
labor. We will make them hate themselves and their neighbors.
« We will always hide the divine truth from them, that we are all one. This they must never know!
They must never know that color is an illusion, they must always think they are not equal. Drop by
drop, drop by drop we will advance our goal. We will take over their land, resources and wealth
to exercise total control over them. We will deceive them into accepting laws that will steal the
little freedom they will have. We willestablish a money system that will imprison them forever,
keeping them and their children in debt.
« When they shall ban together, we shall accuse them of crimes and present a different story to
the world for we shall own all the media. We will use our media to control the flow of information
and their sentiment in our favor. When they shall rise up against us we will crush them like
insects, for they are less than that. They will be helpless to do anything for they will have no
weapons.
« We will recruit some of their own to carry out our plans, we will promise them eternal life, but
eternal life they will never have for they are not of us. The recruits will be called “initiates” and will
be indoctrinated to believe false rites of passage to higher realms. Members of these groups
will think they are one with us never knowing the truth.
They must never learn this truth for they will turn against us. For their work they will be rewarded
with earthly things and great titles, but never will they become immortal and join us, never will
they receive the light and travel the stars. They will never reach the higher realms, for the killing
of their own kind will prevent passage to the realm of enlightenment. This they will never know.
The truth will be hidden in their face, so close they will not be able to focus on it until its too late.
Oh yes, so grand the illusion of freedom will be, that they will never know they are our slaves.
« When all is in place, the reality we will have created for them will own them. This reality will
be their prison. They will live in self-delusion. When our goal is accomplished a new era of
domination will begin. Their minds will be bound by their beliefs, the beliefs we have established
from time immemorial.
« But if they ever find out they are our equal, we shall perish then. THIS THEY MUST NEVER KNOW.
If they ever find out that together they can vanquish us, they will take action. They must never,
ever find out what we have done, for if they do, we shall have no place to run, for it will be easy to
see who we are once the veil has fallen. Our actions will have revealed who we are and they will
hunt us down and no person shall give us shelter.
« This is the secret covenant by which we shall live the rest of our present and future lives, for
this reality will transcend many generations and life spans. This covenant is sealed by blood, our
blood. We, the ones who from heaven to earth came. »
« This covenant must NEVER, EVER be known to exist.
It must NEVER, EVER be written or spoken of for if it is, the consciousness it will spawn will
release the fury of the PRIME CREATOR upon us and we shall be cast to the depths from whence
we came and remain there until the end time of infinity itself. »

Le Dr Richard Fleming prévient que Fauci, le NIH a déjà développé la PROCHAINE arme biologique à libérer avec des capacités similaires au VIH qui suppriment l’immunité humaine + Étude : les vaccins « imparfaits » tels que les vaccins Covid RENFORCENT la transmission virale et aggravent les pandémies

Le Dr Richard Fleming prévient que Fauci, le NIH a déjà développé la PROCHAINE arme biologique à libérer avec des capacités similaires au VIH qui suppriment l’immunité humaine

Image: Dr. Richard Fleming warns that Fauci, NIH have already developed the NEXT bioweapon to be released with HIV-like capabilities that suppress human immunity

Dans une nouvelle conversation de Brighteon, Mike Adams, le Health Ranger, a eu la chance de s’asseoir et de parler avec le Dr Richard Fleming du coronavirus {SRAS-CoV-2] de Wuhan [de la Coronavirus Desease 2019 (Covid-19) = Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS]. Et ce que Fleming avait à dire à propos de tout cela est vraiment révélateur, y compris ce qui pourrait arriver ensuite dans la saga plandémique.

Au fait, Fleming a un livre à paraître cet automne, intitulé Is COVID-19 a bioweapon? Une enquête scientifique et médico-légale. Il approfondit de nombreux sujets abordés tout au long de l’interview, que vous pouvez regarder ci-dessous :

https://www.brighteon.com/embed/1ea82016-5615-4184-a56a-2cd8cec6370b

En tant que chercheur estimé, Fleming suit de près toutes les données disponibles sur les virus chinois depuis le début de la plandémie. Il a également cherché à savoir d’où venait le virus, découvrant d’horribles vérités sur la façon dont le gouvernement américain l’a financé avec l’argent des contribuables. 

Fleming est également préoccupé par la façon dont le virus continue de muter en raison de la vaccination de masse. La chose même qui, selon les médias, mettra fin à la pandémie ne fait que l’alimenter encore plus, prévient-il.

« Ces virus ont beaucoup de variantes », a déclaré Fleming, soulignant que le virus chinois n’était pas un événement aléatoire dans la nature.

«Je surveille en fait les données qui se font sur les changements de ces virus pour regarder ce qui se passe, pour voir quels changements se produisent, quels changements se produisent naturellement, du point de vue de l’évolution de ce virus … il apporte des changements comme le font les organismes vivants. »

Tout comme la façon dont les antibiotiques déclenchent des «supervirus», les vaccins Covid créent des «supervirus»

Le terrier du lapin va assez loin avec ce virus car il a été techniquement conçu sous surveillance américaine, bien que nous sachions maintenant qu’une grande partie de son développement a été délocalisée en Chine, en particulier l’Institut de virologie de Wuhan (WIV), afin de contourner les restrictions nationales sur le recherche biologique de gain de fonction qui était nécessaire pour le produire.  

Tony Fauci des National Institutes of Health (NIH) était bien sûr impliqué, tout comme Peter Daszak d’EcoHealth Alliance et d’autres de Fort Detrick dans le Maryland et de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill. Encore une fois, le terrier du lapin est profond.

Le virus est certainement venu d’un laboratoire, dit Fleming, et il est maintenant en train de muter et de propager de nouvelles variantes dues aux vaccins – un peu comme la façon dont les antibiotiques font que les bactéries qu’ils sont censés combattre se transforment en «superbactéries», dont certaines sont beaucoup plus mortelles que ce qu’ils ont commencé.

« La sélection de pression fonctionne », a expliqué Fleming lors de l’interview sur ce que nous voyons maintenant arriver au virus chinois à cause des vaccins. « Nous savons que si vous faites pression sur une espèce comme ce virus, elle sélectionnera celles qui sont les plus viables pour vivre et poser un problème. » 

Pour aggraver les choses, Fleming dit que Fauci et ses amis travaillent déjà sur la prochaine arme biologique qui contiendra des propriétés plus fortes de type VIH conçues pour supprimer l’immunité humaine. Alors que le coronavirus de Wuhan [de la Coronavirus Desease 2019 (Covid-19)] peut être combattu par le système immunitaire, sa prochaine itération sera conçue pour déjouer les défenses naturelles du corps.

Il dit que le virus du SRAS qui a été libéré en 2002 était la première itération de cette arme biologique, et le coronavirus de Wuhan [de la Coronavirus Desease 2019 (Covid-19)] est la seconde. Cela fait du nouveau virus similaire au VIH, déjà en cours de développement, qui sera bientôt le troisième. 

En attendant, prévient-il, ceux qui ont reçu des injections de protéines de pointe et de produits chimiques d’ARNm via les vaccins continueront de développer des maladies graves à cause des injections, ainsi que de transmettre ces maladies à d’autres.

N’oubliez pas de consulter l’interview complète de Mike Adams et du Dr Richard Fleming sur Brighteon.com.

Vous pouvez également vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant la plandémie sur Pandemic.news.

Les sources de cet article incluent :

Brighteon.com

FlemingMethod.com

Ethan Huff

Étude : les vaccins « imparfaits » tels que les vaccins Covid RENFORCENT la transmission virale et aggravent les pandémies

Image: Study: “Imperfect” vaccines such covid jabs ENHANCE viral transmission and worsen pandemics

Lors d’un récent épisode de son podcast, le comédien Joe Rogan a mentionné une étude publiée dans la revue PLOS Biology en 2015 qui décime complètement l’idée que les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan [de la Coronavirus Desease 2019 (Covid-19)] aident de quelque manière que ce soit à arrêter la propagation.

Au contraire, ce que l’étude a révélé, c’est que certains vaccins, que l’étude décrit comme « imparfaits », contribuent en fait à une propagation accrue de la maladie. Il s’avère que les injections de virus chinois entrent carrément dans cette catégorie parce qu’ils « fuient ».

Les injections « leaky », on le sait désormais, exercent une pression sélective sur les virus de manière à les faire muter et devenir plus virulents. Dans le cas de la grippe de Wuhan, c’est pourquoi nous assistons maintenant à une augmentation soudaine de la propagation de nouvelles « variantes » telles que « delta ».

Ceux qui reçoivent des injections qui fuient finissent par devenir des incubateurs ambulants pour ces nouvelles souches, qui semblent se propager des vaccinés aux autres avec lesquels ils entrent en contact.

« Certains vaccins pourraient-ils entraîner l’évolution d’agents pathogènes plus virulents ? » demande l’étude dans son résumé. « La sagesse conventionnelle est que la sélection naturelle éliminera les agents pathogènes hautement mortels si la mort de l’hôte réduit considérablement la transmission. »

« Des vaccins qui maintiennent les hôtes en vie mais permettent toujours la transmission pourraient ainsi permettre à des souches très virulentes de circuler dans une population. »

L’étude a examiné les vaccins contre la maladie de Marek, qui est un virus qui se transmet chez les poulets. Selon les chercheurs, un autre vaccin qui fuit, ces vaccins au poulet, améliore la « mise en forme » de souches plus virulentes de la maladie de Marek, « permettant aux souches hyperpathogènes de se transmettre. »

De plus, la soi-disant « immunité » provoquée par les injections ne parvient pas à empêcher l’infection, la réplication virale et la transmission. C’est également vrai pour les injections de Donald Trump « père du vaccin » de l’« Opération Warp Speed » contre la grippe chinoise.

« Nos données montrent que les vaccins anti-maladie qui n’empêchent pas la transmission peuvent créer des conditions qui favorisent l’émergence de souches pathogènes qui provoquent une maladie plus grave chez les hôtes non vaccinés », expliquent les auteurs de l’étude sur le vaccin contre la maladie de Marek.

Des humains « entièrement vaccinés » marchent et parlent d’usines de variantes

Alors que l’immunité normale et naturelle finirait par éliminer les souches «chaudes» d’un virus en circulation, «l’immunité» induite par le vaccin fait le contraire. Les vaccins qui fuient comme les vaccins contre la grippe Fauci et les vaccins contre le virus du poulet non seulement ne parviennent pas à éliminer les souches virales chaudes, mais en créent en fait plus.

« On s’attend théoriquement à ce que certains types de vaccins puissent provoquer l’évolution d’agents pathogènes plus virulents (‘plus chauds’) », explique l’étude.

« Cette idée découle de l’idée que la sélection naturelle élimine les souches pathogènes qui sont si « chaudes » qu’elles tuent leurs hôtes et, par conséquent, elles-mêmes. Les vaccins qui permettent aux hôtes de survivre mais n’empêchent pas la propagation de l’agent pathogène relâchent cette sélection, permettant l’évolution d’agents pathogènes plus chauds.  

Les vaccins « parfaits », comme ils les appellent, ne provoquent pas la création et la propagation de nouvelles souches pathogènes chaudes car ils bloquent efficacement la transmission. Malheureusement pour les vaccins contre la grippe Fauci et les vaccins contre le virus du poulet, les vaccins sont tout sauf parfaits.

L’establishment médical contourne la question des vaccins qui fuient depuis plus d’une décennie, prétendant qu’ils n’existaient même pas. La science médicale actuelle, cependant, a mis en garde contre les menaces qu’ils représentent pour la santé publique, à la fois chez les animaux et les humains.

Dans le cas des poulets, il a été découvert que les injections de la maladie de Marek ont ​​finalement entraîné la propagation de souches plus virulentes du virus au sein des populations de volaille. Cela a entraîné la mort d’innombrables oiseaux, grâce à l’« excrétion » de ces souches mortelles d’oiseaux vaccinés.

Il a fallu un certain temps pour que ces effets soient visibles, cependant. Ils ne se sont souvent pas produits immédiatement, ce qui augure de mauvais augure pour l’avenir de l’humanité en ce qui concerne les vaccins contre le virus chinois.

À l’heure actuelle, chaque personne qui a été « complètement vaccinée » contre les germes chinois est une usine de variantes ambulantes. Certains manifestent déjà ces souches chaudes tandis que d’autres les fabriquent encore à l’intérieur de leur corps. Quoi qu’il en soit, ils sont tous une menace de maladie ambulante et parlante.

L’étude sur la maladie de Marek montre très clairement que les vaccins non stérilisants, qui comprennent des injections de virus chinois, ne tuent pas les agents pathogènes. Par conséquent, ils exercent une pression sélective sur lesdits agents pathogènes pour qu’ils mutent.

« Ainsi, les vaccins anti-maladie (ceux qui réduisent la réplication ou la pathogénicité dans l’hôte) ont le potentiel de générer une évolution néfaste pour le bien-être humain et animal », indique clairement l’étude.

Dans le cas des poulets, on pense que les souches de maladies les plus nocives se propagent à travers la poussière contaminée par le «virus excrété». Chez les humains vaccinés par le virus, il pourrait s’agir de ces gouttelettes buccales et nasales toujours redoutées que les fascistes médicaux nous ont tous dit de bloquer en portant un masque facial pendant la majeure partie de 2020.

« L’échec vaccinal face à des agents pathogènes virulents a été documenté pour au moins deux virus autres que le MDV : le calicivirus félin et le virus de la bursite infectieuse chez les volailles », poursuit l’étude.

« Les deux cas sont également associés à l’utilisation à long terme de vaccins anti-maladie qui fuient. »

Les dernières nouvelles sur la tromperie du vaccin contre le virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

Les sources de cet article incluent :

Journals.Plos.org

NaturalNews.com

Ethan Huff

L’OMS modifie la définition de « l’immunité collective » pour éliminer le consensus pré-COVID

Et affirme que l’immunité collective peut seulement être obtenue par la vaccination.

L’Organisation mondiale de la santé a modifié la définition de l’« immunité collective », éliminant le consensus qui existait avant le COVID, selon lequel on pouvait y parvenir en laissant un virus se propager dans une population, et insistant sur le fait que l’immunité collective provient uniquement des vaccins.

Ce changement est intervenu dans une section du site web de l’OMS intitulée « Coronavirus (COVID-19) : Sérologie, anticorps et immunité ».

La définition originale de l’OMS (archivée ici) indique que l’immunité collective « se produit lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par une immunité développée par une infection antérieure. Cela signifie que même les personnes qui n’ont pas été infectées, ou chez qui une infection n’a pas déclenché de réponse immunitaire, sont protégées car les personnes immunisées de leur entourage peuvent servir de tampon entre elles et une personne infectée ».

La définition originale ne parvient pas à identifier le consensus pré-Covid sur ce que l’on entend par « immunité collective », c’est-à-dire lorsqu’une population est protégée contre un virus parce qu’un nombre suffisant de personnes ont été infectées par celui-ci pour créer une immunité communautaire.

Cependant, la version actualisée de l’OMS est encore plus extrême, insistant sur le fait que l’immunité collective ne peut être obtenue que par des programmes de vaccination de masse.

« “L’immunité collective”, également appelée “immunité des populations”, est un concept utilisé pour la vaccination, selon lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint », indique le site web de l’OMS, qui ajoute : « L’immunité collective est obtenue en protégeant les personnes contre un virus, et non en les exposant à celui-ci ».

« “L’immunité collective” existe lorsqu’un pourcentage élevé de la population est vacciné », déclare le site web, omettant complètement la signification originale de « l’immunité collective », qui est le moment où une population devient immunisée contre un virus en y étant exposée.

En changeant la définition de l’« immunité collective », l’OMS réécrit littéralement des centaines d’années de compréhension scientifique de la signification réelle de ce terme, dans un effort apparent pour faire taire tout argument selon lequel l’immunité collective aurait été une meilleure approche pour lutter contre le COVID-19 que le confinement et la distanciation sociale.
– Source : ASR

La FDA énumère 22 effets indésirables du nouveau vaccin COVID-19

La FDA – Food and Drug Administration (Administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments) énumère 22 effets indésirables potentiels du nouveau vaccin COVID-19 et ça ne s’annonce pas bien

La FDA a publié une liste des effets indésirables du vaccin COVID-19 sur son site web officiel.

Les 22 effets indésirables potentiels énumérés sur le site officiel de la Food and Drug Administration sont les suivants

  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Myélite transverse
  • Encéphalite/myélite / encéphalomyélite / méningo-encéphalite / méningite / encépholapathie
  • Convulsions et saisies
  • AVC
  • Narcolepsie et cataplexie
  • Anaphylaxie
  • Infarctus aigu du myocarde
  • Myocardite / péricardite
  • Maladie auto-immune
  • Décès
  • Résultats de la grossesse et de l’accouchement
  • Autres maladies de la myélinisation
  • Réactions allergiques non anaphylactiques
  • Thrombocytopénie
  • Dissémination de la coagulation intravasculaire
  • Vénus Thromboembolie
  • Arthrite et arthralgie/douleur articulaire
  • Maladie de Kawasaki
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez l’enfant
  • Maladie renforcée par le vaccin

Page 6 du bulletin :

Vous voulez toujours le vaccin ? Des questions ?

Source:Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee October 22, 2020 Meeting Presentation — FDA.gov

Données personnelles : attention aux nouvelles conditions d’utilisation de WhatsApp !

Les utilisateurs qui les acceptent verront leurs données personnelles partagées avec Facebook, Instagram et autres entreprises du groupe. Sans possibilité de refus.

L’application va désormais obliger ses utilisateurs à accepter de partager leurs données personnelles avec Facebook et l’ensemble des entités appartenant au groupe.

WhatsApp sera ainsi en mesure de partager avec entreprises liées à Facebook, votre numéro de téléphone ainsi que ceux de vos contacts, votre nom, votre photo de profil, votre statut ainsi que les données de diagnostic collectées dans les logs de l’application.

L’application explique ces nouvelles conditions par l’intégration des plateformes de messagerie qui se met en place :

« En tant qu’entité de la famille d’entreprises Facebook, WhatsApp reçoit des informations de cette famille d’entreprises et les partage avec elle. Nous pouvons utiliser les informations que nous recevons et elle peut utiliser les informations que nous partageons ».
– Source : Les Moutons Rebelles

Liste des aliments qui ne périment jamais

Epices, légumes secs, pâtes… Certains aliments ne périment pas. On accumule souvent beaucoup de denrées alimentaires et quand vient le moment de faire du tri mieux vaut veiller aux dates de péremption… Sauf pour certains produits ! Découvrez la liste des aliments non périssables.

Les boissons qui ne périment pas

  • Les bouteilles d’eau : la date de péremption inscrite sur les bouteilles d’eau concerne davantage le contenant que le contenu. En effet, c’est le plastique qui au fil du temps rend l’eau impure. Conservée dans une bouteille en verre, l’eau ne se périme pas.

Les céréales et graines qui ne périment pas 

  • Les légumes secs : les lentilles, les fèves ou encore les pois chiches se conservent durablement. Parmi eux, les haricots secs sont les plus faciles à garder car ils sont très pauvres en humidité et donc ne périment pas.
  • Les céréales : si vous les conservez dans une boîte hermétique bien fermée et à l’abri de la chaleur et de l’humidité, les céréales peuvent aisément se conserver des années. Le goût est souvent un bon indicateur pour repérer des céréales rances.
  • Les pâtes : exit les pâtes fraîches ou celles au blé complet, elles ne périment pas.
  • Le riz : plus particulièrement le Basmati n’est pas périssable. Attention, le riz brun et long grain le sont car ils ont sont riches en graisse. Selon certaines recherches, le riz blanc pourrait conserver sa saveur et ses nutriments 30 ans après sa date de péremption à condition de le conserver à 5°C dans un contenant hermétique.
  • La farine et la fécule de maïs : bien conservée dans un récipient hermétique, elles ne périment pas. Cependant, la farine n’aura plus les qualités nutritionnelles qu’on lui connaît. Attention à la farine de blé complet qui a tendance à rancir rapidement.

Les produits laitiers qui ne périment pas

  • Les fromages à pâte dure : si votre morceau préféré est à pâte dure et possède un extérieur un peu cireux, il peut être conservé jusqu’à 25 ans avant de commencer à moisir. 
  • Le beurre clarifié : constitué en grande partie d’acide gras saturé, le beurre clarifié ne périme pas rapidement à condition de le conserver à température ambiante dans une boîte hermétique.

Les produits sucrés qui ne périment pas

  • Les bocaux de fruits et légumes : ce mode de conservation permet de les consommer des années après les avoir mis en conserves.
  • La crème de marron : si elle ne contient pas de crème fraîche, la crème de marron peut se conserver durablement du fait de sa forte teneur en sucre.
  • La poudre de cacao : conservée dans un endroit sec et à l’abri de la lumière, la poudre de cacao ne risque rien. Vous pouvez la consommer plusieurs années après l’avoir achetée.
  • Le café soluble : s’il est conservé au congélateur, le café soluble est consommable à vie.
  • Le miel : pourtant riche en sucre, il contient une très faible dose d’hydratation et ne périme donc jamais. Veillez à ne pas laisser de traces de beurre ou des miettes de pain pour une meilleure conservation. L’anecdote : des archéologues ont retrouvé du miel dans les pyramides égyptiennes et que ce dernier est encore comestible… Incroyable histoire vraie !
  • Le sirop d’érable : il possède une forte teneur en sucre. Il est ainsi non périssable. S’il a durci, plongez la bouteille dans de l’eau chaude pour le rendre à nouveau liquide.
  • Le sucre : les bactéries ne se nourrissent pas du sucre. Ainsi, il peut être conservé des années sans problème ! Le seul risque : qu’il durcisse !
  • Les fruits et légumes en conserves : on les a mis par principe mais vous vous en doutez, les fruits et légumes en conserves peuvent rester des années dans les placards. Toutefois, si vous repérez une boîte anormalement gonflée, évitez de la consommer.
  • Les gousses de vanille : elles se conservent au sec, à l’abri de la lumière et de l’air. Si c’est trois conditions sont respectées, vous pouvez la garder pendant des années. L’idéal : enrober les gousses d’un papier paraffiné. Ce papier est spécialement conçu pour la conservation de la vanille dans les pays producteurs.

Les produits salés qui ne périment pas

  • Les cubes de bouillon : parce qu’ils sont déshydratés et composés en majeure partie de sel, les cubes de bouillons peuvent facilement se conserver plusieurs années dans un endroit sec. Au pire, ils perdront un peu de leur goût.
  • La viande et le poisson en boîte : les poissons comme les maquereaux ou les sardines et la viande comme le fameux corned-beef peuvent se conserver jusqu’à 5 ans après leur date d’achat. Le type de denrées alimentaires à toujours avoir chez soi. En plus, elles sont riches en oméga 3.
  • La viande séchée : si vous êtes friands de viande séchée, vous allez encore plus l’adorer en apprenant que celle-ci ne périme pas.

Les sauces et condiments qui ne périment pas

  • Les épices : elles peuvent rester des années dans votre cuisine sans pour autant susciter l’intérêt d’une péremption quelconque. A long terme, le goût peut néanmoins être moins prononcé.
  • Les herbes séchées : elles sont déshydratées et ne périment donc pas. Seul leur goût peut être altéré et donner moins de saveur à un plat par exemple.
  • L’huile de coco : elle est riche en acide gras saturé et peut donc rester des années dans le placard.
  • La sauce soja : sa forte teneur en sel permet de la conserver longtemps sans qu’elle ne périme.
  • Le sel : il est haï des bactéries c’est pourquoi il ne se périme pas ! Même s’il devient compact son goût est toujours là. Ce n’est pas un hasard si le sel est l’ancêtre du réfrigérateur.
  • Le vinaigre : comme il est très acide, le vinaigre se garde indéfiniment s’il n’est pas ouvert.

Émilie Lesur Mis à jour le 27/03/20 12:16

Mort d’une militante anti-vaccination, Brandy Vaughan

Brandy Vaughan, militante anti-vaccination de Learn the Risk, retrouvée morte par son fils de 9 ans


Mollie Mansfield – 9 déc. 2020 – The Sun


Une militante anti-vaccination ayant fondé Learn the Risk a été retrouvée morte par son fils de neuf ans.


La nouvelle de la mort de Brandy Vaughan a commencé à circuler mardi, mais la date n’a pas été confirmée.


Brandy Vaughan était une militante anti-vaccination qui a fondé l’association californienne Learn the Risk.


Health Nut News a rapporté que Brandy Vaughan avait été retrouvée morte par son fils de neuf ans.


Sur sa page Facebook, elle se décrivait comme une « ex-employée de l’industrie pharmaceutique ayant pour mission de créer un monde plus sain, une personne à la fois, en éduquant sur les risques réels des médicaments et des vaccins pharmaceutiques ».


Lorsqu’elle travaillait pour l’industrie pharmaceutique, Brandy a vendu du Vioxx, un analgésique qui, selon sa biographie Learn the Risk, doublait les risques d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques. L’analgésique a ensuite été retiré du marché.


« De cette expérience, j’ai réalisé que ce n’est pas parce que quelque chose est sur le marché que c’est une chose sûre », a déclaré Brandy.


« Une grande partie de ce que nous dit l’industrie de la santé n’est tout simplement pas la vérité. »
 

Elle a ensuite passé huit ans en Europe où elle a pu constater que les soins de santé sont dispensés de manière très différente des États-Unis.

De retour aux États-Unis avec un fils non vacciné, elle a été intimidée dans le cabinet d’un pédiatre lorsqu’elle a posé des questions que tous les parents devraient poser, comme « Quels sont les ingrédients de ces vaccins », lit-on dans sa biographie.


« Comment se fait-il que les enfants d’autres pays soient en meilleure santé, mais reçoivent beaucoup moins de vaccins ? »


Une page GoFundMe( ndt page désactivée!) a été lancée après son décès pour réaliser les « souhaits de Brandy », notamment une action en justice, un mémorial/funéraire et pour aider à financer la plateforme LearnTheRisk.


Les hommages et l’argent ont rapidement afflué sur la page, et les gens l’ont remerciée pour « avoir mené le dur combat contre les grandes entreprises pharmaceutiques ».


Une autre femme a écrit : « Une vraie héroïne, qui m’a inspiré pour en apprendre davantage et être plus courageuse. Le temps que j’ai passé à apprendre d’elle et à discuter avec elle a eu un impact durable. Son héritage vivra encore et encore. « Que justice lui soit rendue ».

https://www.thesun.co.uk/news/13429512/brandy-vaughan-anti-vaccination-dead/

Appel aux Français : faites pression sur vos élus afin qu’ils s’opposent au vote de la prochaine loi de finances (pour 2021)

Les Français et les élus doivent savoir et comprendre que nous paierons tous de notre sang l’accroissement infini de la dette de l’État.

Nous relayons ici un appel rédigé par Valérie Bugault et cosigné par certains collaborateurs ou intervenants de Strategika. Vous trouverez ci-dessous une lettre type à envoyer à vos élus afin de les mettre face à leur responsabilité par rapport à une situation politique et sociale qui s’annonce catastrophique.

Lettre-aux-élus-V3Télécharger

Chers français, chers compatriotes,

            Dans le contexte de la présente « crise politico-sanitaire » que traverse la France – ainsi d’ailleurs que l’ensemble des pays occidentaux – le projet de loi de finances pour 2021 apparaît extrêmement problématique.

            En effet, à la faveur du premier confinement, suivi du couvre-feu puis d’un re-confinement, les recettes fiscales de l’Etat se trouvent en très sensible diminution. Dans le même temps, les dépenses de financement du chômage, des reconversions d’activités et les aides diverses et variées aux entreprises augmentent mécaniquement… dans la mesure quasi-exacte de la diminution des recettes fiscales de l’Etat.

            Dans ce contexte économique et social extrêmement dégradé, dramatique pour tous les patrons de PME/TPE et leurs familles, et corrélativement extrêmement inquiétant pour la paix sociale, le prochain budget pour 2021 sera financé par un recours massif (encore plus massif qu’habituellement, ce qui n’est pas peu dire) à l’emprunt. Alors même que le niveau actuel de la dette publique n’est déjà pas soutenable.

            Lors des débats qui auront lieu au sein des commissions des finances de l’Assemblée Nationale et du Sénat, le gouvernement ne se privera pas de mettre en avant les ressources issues du « plan de relance européen ». Toutefois, ledit « plan de relance européen » est lui-même extrêmement préjudiciable pour les français [voir https://lesakerfrancophone.fr/la-dette-de-sang], tout comme le seraient d’ailleurs d’éventuelles ressources européennes éventuellement issues du Mécanisme Européen de Stabilité (Traité « voté » par effraction en 2012).

            Cette augmentation massive du niveau d’endettement public n’est politiquement pas acceptable pour les générations actuelles et à venir.

            Car cet endettement met la France à la merci de ses créanciers, qui ne manqueront pas d’exiger, sur le modèle des intérêts bancaires fidèlement relayé par le FMI et le triumvirat (Troïka) – Commission, BCE, FMI – ayant mis la Grèce à genoux, un « assainissement des finances publiques » consistant à liquider tout ce qui reste de patrimoine public français afin de servir de garantie au remboursement de la dette.

            Car la véritable limite de la dette n’est pas un quelconque pourcentage idiot : elle correspond très exactement au niveau des richesses disponibles pour servir de garantie aux créanciers.

            Chers compatriotes, chers amis, nous sommes les victimes économiques et sociales d’une succession de gouvernements iniques qui ont profité et continuent de profiter de la crédulité et de la générosité du plus grand nombre pour piller notre Nation.

            Ces « hommes politiques » peu scrupuleux dépècent notre patrimoine national au profit de créanciers apatrides et anonymes qui empochent de juteux bénéfices au prix de sacrifices économiques, sociaux, et humains.

            Le double principe de collectivisation des pertes et de privatisation des bénéfices est le credo de nos créanciers ; credo dûment relayés par nos prétendus « hommes politiques ».

            Les Français et les élus doivent savoir et comprendre que nous paierons tous de notre sang l’accroissement infini de la dette de l’Etat.

            Nos créanciers – qui sont par ailleurs financés sans limite par les banques centrales – vont demander, en échange de la fourniture de prêts, la liquidation du patrimoine public financé par nos aïeux. Après les autoroutes, ce sont nos routes nationales qui vont être données en concession ; nous devrons passer par d’innombrables péages partout où nous voudrons nous rendre, dans le même temps que nos routes ne seront plus entretenues et que nous paierons l’entretien des péages. G. Orwell avait anticipé tout cela dans « 1984 » puisqu’il avait prévu l’impossibilité de se déplacer à plus de 100 km sans faire viser son passeport !

            Nous allons devoir dire adieu à tous nos services publics, en commençant par ceux de la santé et de l’instruction publique, déjà très fortement endommagés: hôpitaux, soins médicaux et écoles vont devenir payants, dans le même temps que nos impôts et autres formes de contribution à la dette (impôts indirects, taxes diverses et variées…) vont augmenter.

            La propriété privée ne sera pas épargnée par ce nettoyage à grande échelle : outre les multiples atteintes indirectes qu’elle subit par la diminution du revenu disponible des ménages, les parlementaires ont d’ores et déjà prévu de scinder la propriété du sol de celle du bâtie, qui restera seule disponible. La propriété privée pour tous est définitivement condamnée par ce système inique.

            Nous devrons également renoncer à nos remboursements de sécurité sociale car le budget de l’Etat n’abondera plus celui de la sécurité sociale, lequel va fatalement s’effondrer sous le poids des attaques financières et politiques répétées contre elle. Nous devrons, sur le modèle anglo-saxon, payer des « fonds financiers » privés qui s’occuperont de notre santé… comme de toute notre vie.

            Nous devrons non seulement renoncer à l’existence de la fonction publique – il ne s’agit pas de réduction mais bel et bien de disparition programmée -, mais aussi et surtout au principe même de justice et de droit. Dans l’actuel contexte d’inconstitutionnalité florissante de toutes les lois d’exceptions et d’arbitraire administratif que nous connaissons, les fonctionnaires (justice, police), de la même façon que les avocats et les médecins seront inévitablement neutralisés. D’ailleurs, ils seront inévitablement remplacés, à terme, par des Intelligences artificielles qui se chargeront de veiller à l’édification de « l’ordre public ».

            Les forces de l’ordre, dont l’avenir est, paraît-il, à la fusion franco-allemande, seront transformées en garde chiourmes anonymes de vastes camps de détention civils et politiques à ciel ouvert.

            Nous devrons, en définitive, renoncer à la notion même d’Etat.

            Chers compatriotes, ce fiasco en cours est le résultat de décennies de corruption générale et ininterrompue. Corruption rendue possible par le désintérêt croissant des populations pour le « fait politique », c’est-à-dire pour la gestion du « bien commun » et de « l’intérêt commun ».

            Mes amis, il est temps de nous dresser contre notre asservissement, il est temps de refuser au gouvernement les moyens financiers qu’il demande dans le seul objectif de mieux nous anéantir en tant qu’individu et en tant que Nation.

            Il est temps de nous dresser comme un seul homme pour refuser le vote du budget 2021 qui aura pour effet de sacrifier définitivement notre liberté au profit de l’insatiable appétit des politiques stipendiés qui nous gouvernent et nous sacrifient sans vergogne, nous et notre descendance, à quelques créanciers.

            Il est, dans ces conditions, inconcevable que les « représentants de la Nation » puissent voter, c’est-à-dire valider, le prochain budget pour 2021, qui sera extrêmement dommageable aux Français d’aujourd’hui et de demain ; les générations futures étant définitivement sacrifiées sur l’autel de l’avidité des créanciers et de la servilité des hommes politiques qui les relaient.

            Sans changement majeur et drastique dans la façon de concevoir la direction politique, économique et financière de la France, nous Français, attendons que nos représentants élus ne participent pas à cette mascarade politique consistant au vote de la prochaine loi de finances.

            Les députés doivent s’opposer à la direction financière de l’Etat qui mènera la France dans le néant civilisationnel en s’abstenant de voter la prochaine loi de finance pour 2021.

            Par cet appel, nous, signataires, demandons à chaque Français d’envoyer à ses représentants élus, quels qu’ils soient – maire, député, sénateur, conseil municipal, conseiller général ou conseiller régional – la lettre ci-jointe exprimant clairement la volonté unanime du peuple français de ne pas valider la politique criminelle du gouvernement en autorisant la mascarade du financement par la dette au prix de sacrifices humains.

Signataires :

Roland Hureaux (essayiste), Philippe Bourcier de Carbon (fondateur de l’AIRAMA – Alliance Internationale pour la Reconnaissance des Apports de Maurice Allais), Claude Oudet (artisan du bâtiment), Inès Fernandez (responsable administrative), Caroline Divo (professeur de biotechnologie), Salima Bouhadjar (fonctionnaire territoriale), Rémi Dussart (ostéopathe), Christophe Clairet (formation professionnelle), Pierre-Louis Lauzière (opérateur en pétrochimie), Cuny (professeur des écoles), Lucien Cerise (écrivain, spécialiste de l’ingénierie sociale), Pierre-Antoine Plaquevent (écrivain, géopoliticien), Hervé Kergourlay (ingénieur), Hubert de Gevigney (Contre-Amiral, retraité), Sandrine Lebreton (animatrice et enseignante sportive), Jean-Pierre Lamonnier (retraité, ancien cadre bancaire, ancien syndicaliste), Pauline Raquillet (écrivain), Jean-Claude Manifacier (professeur de physique, Université de Montpellier), Patrick Lerond (retraité), Pascal Sacré (médecin anesthésiste réanimateur), Hélène Luciani (restauratrice), Jean-Jacques Cotton (retraité), Anne Rolli (commerciale), Youssef Hindi (auteur, politique et géopolitique des religions), Pascale Perez (gestionnaire de copropriété), Luc Saffray (entrepreneur), Jean-Luc Baslé (ancien président de Citigroup New-York), Betty Rebelle (thérapeute), Michel Matias (logistique), Hervé Gallet (chef, gérant de cuisine collective), Louis-Christian Gauthier (officier en retraite, historien, écrivain), Gérard Luçon (ancien directeur Protection Judiciaire), Patrice Maillard (agent général d’assurance), Eric du Réau (colonel), Karine Drillon (praticienne en énergétique), Grégory Billon (entrepreneur), Jacques Hogard (colonel, retraité), Tarick Dali (avocat), Marc Alfonsi (administrateur de patrimoine), Gilles La Carbona (cadre supérieur fonction publique), Alain Corvez (Colonel, conseiller en stratégie internationale), Virginie Moureu (infirmière), Nicolas Pasqual (docteur en biologie, chercheur), Agnès Carton Deiana (infirmière), Philippe Renaud (chef d’entreprise – solutions pour entreprises), Romain Renaud (gérant de magasin), Catherine Rey (retraitée), Ricardo Canotilho (responsable commercial, marketing), Alexandre Fink (juriste), Sonia Deffrennes (formatrice – conférencière), Patricia Petillon (chef d’entreprise – évènementiel), Céline El-Afghani (psychologue), Céline Parisier (assistante de direction), Jérôme Suarez (pompier), Aurélie Mous (commerciale), Claude Gaucherand (Contre-Amiral deux étoiles, retraité), Séverine Manna (avocate au barreau de Paris), Hubert Marty (commissaire), Dominique Delawarde (Général deux étoiles, renseignements, retraité), Irène Hardy (enseignante), David Wolff (avocat au barreau de Paris), Marion Sigaut (écrivain – historienne), Varoujan Sirapian (directeur de la Revue Europe&Orient – E&O), Elyès (ancien porte-parole des gilets jaunes constituants), Candice Neveu (consultante, formatrice), Edith Pagano (formatrice), Silvano Trotta (youtuber), Dr. Henri Kotobi (chirurgien), Amar Goudjil (analyste sociologue), Manon Dardenne (conservatrice des bibliothèques), Lucie Hautefeuille (retraitée), Hubert Duclos (retraité), Thierry Dudreuilh (médiateur international / counsellor), Dr. Jean-Pierre Eudier (chirurgien-dentiste), Michel Cuinier (retraité), Pepe Escobar (analyste politique) – soutien de la Thaïlande, Stéphanie Carron (productrice exécutive cinéma/séries TV), Stéphanie Bignon (Terre et famille, ingénieur), Alain Escada (Président de Civitas, mouvement catholique), Christine Deviers Joncour (auteur), Elisabeth Faure Viard (notaire), Christophe Cosse (auteur, réalisateur, producteur, thérapeute), Cristel Clavaguera (youtubeuse chaine Cristel et Mika, ex-gilet jaune), Valérie Bugault (auteur, politique et géopolitique du droit)

Ouïghours, pour en finir avec les fake news

Le manuscrit de mon livre « Ouïghours, pour en finir avec les fake news » est déjà à l’imprimerie quand je découvre un nouvel enfumage : des photos par satellite de « camps de concentration », dits aussi (mon livre vous en contera plus) « camps d’extermination, voire camps de crémation » et les photos de ces mêmes bâtiments, prises du sol.

Voir l’article qui suit, avec photos, de Global times, un tabloïd indépendant chinois publié en mandarin et en anglais.

Les photos vues du ciel sont diffusées par un pseudo think tank, ASPI (Australian Strategic Policy Institute) (1).

Les autres photos des mêmes bâtiments, prises in situ par les Chinois, montrent qu’il s’agit de tout autre chose. Coincés, les menteurs ergotent : « Ce ne sont pas les photos des bâtiments prises par satellite ».

Or, les photos satellite donnent imprudemment les coordonnées géographiques précises des lieux incriminés (par exemple : 38.8367N, 77.7056E pour la première photo).

La Chine, qui a déjà accepté que des centaines de journalistes (dont moi : deux fois), des organismes internationaux comme la Banque Mondiale, des sommités de l’Organisation Mondiale de la Santé viennent voir, a lancé de nouvelles invitations pour qui veut enquêter. En effet, Eljan Anayt, porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang, a déclaré lors d’une conférence de presse, que « le Xinjiang est une région ouverte et qu’il n’est pas nécessaire de s’en informer par le biais d’images satellite. Tous les amis étrangers ayant une position objective, sans préjugés sont les bienvenus s’ils veulent venir sur place connaître le vrai Xinjiang ».

Il suffit donc aux prochains observateurs objectifs d’aller sur tous les lieux repérés au mètre près et de nous dire qui ment.

Pour les Français, je propose deux élus, fers de lance de l’offensive antichinoise : Clémentine Autain (Assemblée Nationale) et Raphaël Glucksmann (Parlement Européen).

Ils sont tellement passionnés par le sujet, tellement bouleversés par le martyr infligé aux Ouïghours par les « Faces de citron » (cf. le compte Facebook de Mme Autain où l’injure raciste est restée des semaines malgré mes demandes de l’enlever) qu’ils vont foncer là-bas et revenir nous raconter ce qu’ils ont vu.

Je suis tranquille : ces deux élus du peuple français, une fois leurs yeux décillés, nous diront la vérité. Ils ne sont pas de nature à mentir pour surfer sur une vague antichinoise électoralement porteuse et susceptible de servir un ambitieux plan de carrière.

N’oublions pas d’envoyer aussi au Xinjiang un journaliste du site Brut (2), Rémy Buisine, qui a réussi à faire parler Emmanuel Macron pendant plus de 3 minutes sur les Ouïghours dans son interview (à/c de 2h12mn34s) du 4 décembre 2020. Le pauvre jeune homme a bien été obligé de poser la question, l’air éploré. Dame, il a reçu a-t-il dit, « des milliers de messages » sur le sujet (pas des dizaines de milliers ?) ! Et pas un seul message sur les 10 millions d’enfants esclaves en Inde ou sur les femmes encagées sous des burqas dans les pays amis (parce que démocratiques).

Notes:

  1. ASPI (Australian Strategic Policy Institute) est un think tank qu’un sénateur australien a accusé d’avoir reçu 450 000 dollars du Département d’État américain. ASPI jure que le vrai chiffre est inférieur à la moitié de ce montant. Ha ! Ha !Un ancien ambassadeur australien révèle qu’ASPI est également subventionné par le gouvernement australien et qu’il est « lié au complexe américain de défense, d’armement et renseignement et qu’il est un partisan enthousiaste de presque tout ce qui est américain. Il est hostile à la Chine et il est devenu l’organisation de référence antichinoise»
  2. Pour découvrir Brut, voir notamment Wikipedia : En septembre 2019, Brut signe un partenariat rémunéré avec Facebook pour produire des vidéos quotidiennes d’actualité … Brut a également réalisé une levée de fonds de 10 millions d’euros en 2018 auprès notamment de Xavier Niel, de la Banque Publique d’Investissement, du fonds NextWorld de Sébastien Lépinard et du fonds Cassius d’Emmanuel Seugé….
    Le média est notamment financé par la production de contenus publicitaires pour des marques (Netflix, Société Générale, Leboncoin, etc.) ou pour le gouvernement français, qui reprennent les codes des vidéos réalisées par Brut… et par une activité de publicité classique assurée en totalité par France Télévisions

Le Xinjiang publie des photos de sites présentés comme des centres de détention des Ouïghours par des images satellites

Le document ci-après souffre peut-être d’être parfois rédigé en un style typiquement chinois.

Mais il a deux avantages :

  1. il met en regard des photos satellitaires et des photos prises au sol, en indiquant leurs positions géographiques précises.
  2. il invite les observateurs à venir voir sur place.

Jusqu’à présent, nous avions des articles de presse qui nous parlaient de camps de concentration sans les situer, nous avions quelques Ouïghours exilés qui faisaient de même. C’est que les mensonges ne s’accommodent pas d’indications qui permettent les vérifications – Le Grand Soir

*

Des sites qui avaient été marqués comme « camps de concentration » par certains médias occidentaux et un institut australien [ASPI] se sont révélés être des bâtiments administratifs, des maisons de retraite, des centres de logistique ou des écoles, comme on a pu le voir vendredi, lorsque la région autonome ouighour du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a offert des vidéos et des photos pour réfuter les accusations qui utilisaient des images satellites comme « preuves ».

Pendant longtemps, certains médias et instituts occidentaux, notamment l’Institut Australien des Politiques Stratégiques (ASPI), ont abondamment utilisé les images satellites comme « preuves » de leurs affirmations, selon lesquelles le Xinjiang multipliait les « centres de concentration », un terme auquel les autorités chinoises se sont fermement opposées. Par exemple, dans un rapport intitulé « Documentation sur le système de détention du Xinjiang », de l’ASPI, des bâtiments au Xinjiang, qui sont entourés de murs extérieurs, avaient tous été considérés comme des centres de détention.

« C’est absurde. En fait, ces sites sont juste des institutions civiles », a déclaré Eljan Anayt, porte-parole du gouvernement régional du Xinjiang, lors d’une conférence de presse, en réponse à une question de CNN.

Le « centre de détention » (coordonnées géographiques : 38.9950N, 77.6682E) déclaré par l’ASPI, est en fait une école primaire dans le caanton de Yantaq, comté de Markit, préfecture de Kashi, Xinjiang

« Le centre de détention » de la ville de Turpan, mentionné dans le rapport, est en réalité un bâtiment administratif local ; celui de Kashi, sont les bâtiments du lycée local. Tous sont marqués sur Google Maps, Baidu Maps , et j’ai les photos, a dit le porte-parole, les montrant à la conférence de presse.

Eljan a déclaré que ces soi-disant « think tanks indépendants » tels que l’ASPI ne sont pas des centres de recherche académiques, mais des outils contre la Chine, manipulés par le gouvernement des États-Unis.

Le « centre de détention » (Coordonnées géographiques 39. 8252 N,78. 5501 E) d’après l’ASPI, est en réalité un centre de logistique dans le comté de Bachou, préfecture de Kachi, Xinjiang.

L’ASPI est devenu un établissement tristement célèbre pour la manipulation de fake news qui alimentent le battage médiatique autour du soi-disant travail forcé au Xinjiang. Il a été mis en évidence comme recevant un financement considérable des États-Unis et s’est discrédité, car étant au service des États-Unis contre la Chine.

Les « recherches » d’ASPI sont simplement des fabrications subjectives faites de préjugés et d’hostilité. Leurs sources et indices provenaient soit d’organisations non-gouvernementales américaines anti -chinoises, soit de témoins oculaires intraçables et invérifiables, a déclaré Eljan, en signalant que la communauté internationale a également dénoncé une telle médiocrité qui confond noir et blanc et fabrique des mensonges.

« Je tiens à souligner que le Xinjiang est une région ouverte et qu’il n’est pas nécessaire de s’en informer par le biais d’images satellite. Tous les amis étrangers ayant une position objective, sans préjugés sont les bienvenus s’ils veulent venir sur place connaître le vrai Xinjiang », a déclaré le porte-parole.

Le « centre de détention » (Coordonnées géographiques : 38. 9046 N,77. 6153 E) d’après l’ASPI, est en réalité une école primaire du comté de Markit, préfecture de Kachi, Xinjiang.

Le Xinjiang fournit des photos des sites pour réfuter les affirmations de l’ASPI qui avait montré des images satellites « preuves » de « centres de détention », nous édifiant sur la manière dont des organisations étrangères produisent des « rapports » sensationnels sur le Xinjiang pour attaquer la Chine et désinformer le public.

illustration : Le « centre de détention » (Coordonnées géographiques : 38. 8367 N,77. 7056 E), d’après l’ASPI, est en réalité une maison de retraite du comté de Markit, préfecture de Kachi, Xinjiang.

Source : Global Times

Traduit par Paula Faraone pour Le Grand Soir
– Source : Le Grand Soir

Quand LIBERATION faisait l’apologie de la pédophilie !

Une tribune libre qui fait l’apologie de la sodomisation d’enfants et incite à des relations sexuelles, avec des jeunes âgés de seulement onze ans.

Dans les années 70, le collectif de graphistes Bazooka enmené par kiki Picasso, infiltre la presse. Et c’est en 1977, que «Libération» lui ouvre ses pages.

C’est la période (1977-1979) où Libération a commencé à publier de petites annonces, destinées à des mineurs de douze à dix-huit ans. C’est Serge July qui les fait venir, pour mettre un peu de provoc visuelle dans les pages et apporter un peu d’avant-garde.

Parmi ces illustrations, on retrouve cette œuvre du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes, montrant une fellation réalisée par une petite fille, avec comme sous le titre « apprenons l’amour à nos enfants »!

On y trouve aussi des dessins impliquant des bébés, ou une photo mettant en scène de jeunes garçons dans des postures sodomites. (publié le 5-6 /11/1978 dans la page d’annonces « Taules ».)

Après ce scandale, le journal ouvre encore ses pages à des défenseurs de la pédophilie, à l’occasion de la publication de l’article « Câlins enfantins », en 1981.Checknews : dans les années 70 et 80, Libération a employé et protégé le journaliste pédophile Christian Hennion, ceci n’est pas un scoop.

« En 2009 était publié aux Editions du moment un livre intitulé Un petit tour en enfer. Dans celui-ci, Franck Demules, devenu ensuite l’assistant de Carla Bruni, racontait notamment comment, entre 1977 et 1986, de ses 10 à ses 18 ans, il a été abusé par Christian Hennion, alors journaliste à Libération.»

https://m.facebook.com/groups/533643297303424

Ces jeunes français qui partent en vacances dans l’armée israélienne

Chaque année près de 1.000 français de 16 à 18 ans passent leur été sur une base militaire israélienne. Au programme, tâches ingrates et cours de maniement d’armes.

« En soit ça ressemble à une colonie de vacances un peu spéciale… ». Posée à la terrasse d’un café du 11e arrondissement de Paris, Julie (1) évoque son expérience de volontariat en Israël l’été dernier. La vingtenaire est partie dans une base militaire israélienne pendant deux semaines. Chaque année, un millier de Français et de francophones l’imitent, surtout des jeunes de 16 à 18 ans.

Ils sont bénévoles au sein de Tsahal via le programme Sar-El, abréviation de Shérout Le Israël, « service pour Israël ». Là-bas, ils y font les tâches ingrates – préparer les repas des soldats, les trousses médicales ou nettoyer et ranger le matériel militaire – visitent le pays, manient des armes ou pratiquent le Krav Maga. Une « colo » au milieu des chars et des mitrailleuses.

Un bouche-à-oreille

Le recrutement se fait principalement par le bouche-à-oreille. Camille a suivi sa meilleure amie pour passer du temps avec elle. Des amies de Thalie, « très attachée à Israël », lui ont dit que c’était « une expérience géniale ». Du côté de Chani, son frère et une dizaine de personnes qu’elle connaît étaient déjà parties. Un classique dans son milieu. « Dans l’école où je suis, les gens le font souvent entre la première et la terminale », précise la Parisienne qui est partie en juillet 2019 à 16 ans.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel5_1.jpg

Les jeunes de 16 à 18 ans constituent les deux tiers des 1.000 volontaires français annuels. / Crédits : Instagram

Julie, elle, en avait déjà entendu parler via ses « copines de classe, mais ça ne [l]’intéressait pas du tout ». Elle a même trouvé ça « bizarre » :

« Pour moi, c’était parce qu’elles avaient 16 ans et qu’elles avaient envie d’être avec des beaux gosses bronzés ! »

Les jeunes de 16 à 18 ans constituent les deux tiers des 1.000 volontaires français annuels. Les retraités forment le reste du contingent. Si ces derniers y vont toute l’année, les ados partent eux deux à trois semaines durant l’été et sont une trentaine par base militaire. D’où l’ambiance « colo de vacances ». Julie, qui a fini par imiter ses amies du lycée, analyse :

« Les volontaires ont l’âge où ils n’ont plus envie de partir avec leurs parents, mais eux ne veulent pas les laisser seul. Ils trouvent que Sar-El est un bon compromis. »

Un volontariat international

Depuis sa mise en place dans l’Hexagone en 1983, Tsahal a accueilli plus de 40.000 volontariats français dans ses camps militaires (de nombreux volontaires ont participé plusieurs fois, ndlr). Ces volontaires rendent un fier service à l’État hébreu. Comme chaque Israélien est un soldat, il reste réserviste et continue d’être appelé une fois qu’il a fait son service militaire. Pour éviter de convoquer leurs troupes afin qu’ils fassent les corvées quotidiennes de l’armée, le gouvernement israélien a trouvé une main-d’oeuvre de remplacement : les volontaires. Ils permettraient à Israël d’économiser 1.600 euros par réserviste épargné. Ces civils n’ont pas besoin d’être de confession juive, même si les trois-quarts le sont, selon nos informations. Pour partir, ils doivent juste payer une centaine d’euros de frais d’enregistrement et leurs billets d’avions.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel1_1.jpg

Sar-El fait sa communication sur les réseaux sociaux et est un habile relai de propagande. / Crédits : Captures d’écran de Facebook

Si la France est un des plus grands pourvoyeurs de volontaires, à égalité avec les États-Unis, d’autres Européens se retrouvent sur les bases israéliennes. Sur Instagram, de nombreux jeunes posent habillés en treillis ou dans des hélicoptères sous le hashtag #Sarel. Les commentaires y sont en russe, hongrois, tchèque, français ou néerlandais… Là est la fonction première du volontariat. Plus qu’apporter un soutien, il reste surtout un relais de propagande par les réseaux sociaux mais aussi le bouche-à-oreille. « C’est un objectif d’Israël qu’à minima ils rentrent avec une image positive de l’État », appuie Iris, une ancienne volontaire.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel3_1.jpg

Une « colo » au milieu des chars, des hélicoptères et des mitrailleuses. / Crédits : Instagram

Un programme réglé

Là-bas, le programme marche au pas. On s’y lève à 7h avant de petit-déjeuner à 7h30. « Si quelqu’un est en retard, on fait tous du gainage », se souvient Chani, qui était sur une base à côté de Jérusalem, en Cisjordanie. À 8h30, on assiste ensuite au lever du drapeau où on chante « l’hymne national avec les autres militaires ». De 9h à environ midi, les volontaires s’adonnent à leurs travaux. « On nous a emmenés dans des grands hangars où on devait défaire des cartons. Empiler des gilets pare-balles par dix et les ranger. Faire les sacs à dos des militaires en mettant des chargeurs, des gourdes… », se rappelle la Française de 16 ans. Julie, elle, a été dans une « petite base » spécialisée dans « la veille antiterroriste ». Là-bas, elle a plié des grandes tentes, lavé les dortoirs et rangé des munitions. « Ça a été le truc le plus “Wouuuh” que j’ai fait », rigole l’Alsacienne, pas désarçonnée par le côté militaire de la chose. D’autres personnes comme Camille ont davantage été marquées :

« Il y a un côté surréaliste. T’es d’un coup projeté dans un pays et un environnement que tu ne connais pas. Tu n’es pas dans une ville mais dans un camp militaire. Tu arrives, t’es un peu dans la pampa. D’un coup, tu vois des barbelés, des chars passer… Sur le coup, tu te sens isolée. »

Dans cette « pampa », les volontaires travaillent jusqu’à environ 16h, avec une pause dej’ d’une heure. Ils sont encadrés toute la journée par une soldate israélienne, la « Madrikha » (qui veut plus ou moins dire « cheftaine »). Le soir, des activités sont organisées par ces dernières. « On a eu des cours d’initiation à l’hébreu, l’apprentissage de la couleur des bérets des unités, une introduction à l’histoire d’Israël. Mais les programmes diffèrent selon les encadrantes », raconte Julie. Cette dernière s’est toutefois vite ennuyée : « Ça devient banal, tu tournes en rond. Mais ça, ils ne le disent pas parce que ce n’est pas vendeur ».https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel7_1.jpg

Avec Sar-El, les volontaires font les tâches ingrates des réservistes : préparer les repas des soldats, les trousses médicales ou nettoyer et ranger le matériel militaire. / Crédits : Instagram

Une communication verrouillée

Du côté de l’organisme, la communication est verrouillée. Une membre de Sar-El était pourtant enthousiaste après avoir été contactée par StreetPress. « C’est une excellente idée votre démarche. Vous pouvez m’appeler quand vous voulez », écrit d’abord Catherine, responsable de Sar-El en Belgique. Elle se propose même de nous brancher avec des anciens volontaires. Huit heures plus tard, la donne et le ton ont changé :

« Désolé, après avoir pris contact avec mes supérieurs, je ne peux revenir vers vous. Contactez le bureau dès l’ouverture. Ils prendront une décision si nous pouvons donner suite à votre projet. »

La réponse dudit bureau sera finalement négative.

L’ombre de la guerre

Certains témoignages peuvent ternir l’image d’une joyeuse colo. Thalie a 17 ans en 2006 lorsqu’elle fait son « service ». Quelques jours après son arrivée en juillet, Israël et le Liban s’engagent dans un conflit qui dure 33 jours. Elle est dans une base dans le nord du pays, à seulement 20km de la frontière libanaise et du front. Tout d’abord placée aux cuisines en compagnie d’une quarantaine d’autres Français, elle change rapidement d’endroit et d’activité au bout d’une semaine :

« Il y avait trop d’alertes à la bombe. Mais on avait l’habitude. On savait qu’on avait une minute pour trouver un abri. Si on n’en trouvait pas, on se couchait par terre. »

Deux personnes de son groupe choisissent alors d’être rapatriées. Pas elle. Sur sa deuxième base, à Tzrifin – près de Tel-Aviv – Thalie remplit les cartons de rations pour les soldats de Tsahal et se porte volontaire pour les distribuer au front :

« On était dans des camions blindés avec des gilets pare-balles et on les déposait dans des abris. »

La « Tsahal Experience »

Après s’être rendu au plus près des combats, Thalie et les autres membres de son groupe participent aux entraînements. « On apprenait à tirer au M16 ou on faisait des entraînements de krav-maga (un art martial de l’armée israélienne, ndlr). Après, on apprenait aussi à dégoupiller une grenade et à la lancer. À dessouder un M16 et à le remettre en place. On étudiait les gestes de premiers secours », énumère celle qui est désormais orthophoniste.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel2_1.jpg

Certains volontaires optent pour un entraînement paramilitaire au sein de Tsahal, avec l’apprentissage du maniement des armes. / Crédits : Instagram

Si cet apprentissage s’est effectué dans le cadre des combats, d’autres volontaires français le pratiquent en temps de paix. En plus des deux semaines conventionnelles, Sar-El propose sept jours supplémentaires qui diffèrent selon la « formule ». L’une permet de découvrir le pays, l’autre de faire un entraînement « sportif et paramilitaire ». C’est la « Tsahal Experience ». Chani a souscrit à cette dernière :

« On faisait vraiment comme les militaires. On se levait tôt, on faisait tous les exercices physiques… Ça c’est en dehors de la base et c’est organisé exclusivement par Sar-El. »

L’adolescente a choisi ce programme pour imiter son frère. « Il m’avait dit que c’était très bien, que j’allais adorer. On apprenait à tirer, à faire du krav-maga et du paintball », précise-t-elle. Elle n’a pas été impressionnée par le contexte :

« Je savais que j’allais pouvoir toucher une arme donc j’étais vraiment contente de pouvoir le faire vraiment. »

Pour ces formules additionnelles, les prix augmentent. De 150 euros, le volontariat passe à environ 850 euros avec la « Tsahal Experience » et à 950 euros pour le programme de découverte. « Pas tant de personne ne le font, c’est beaucoup plus cher et les familles qui envoient leurs enfants là-bas n’ont pas forcément envie d’en faire des soldats », nuance une connaisseuse des arcanes du volontariat. « C’est une chose de ranger du matériel et c’en est une autre de faire un entraînement militaire. Même si c’est allégé », estime Julie.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/capture_decran_2019-09-25_a_15.43.07_1.png

Pour ces formules additionnelles, les prix augmentent. De 150 euros, le volontariat passe *à environ 850 euros avec la « Tsahal Experience »* et à 950 euros pour le programme de découverte. / Crédits : Sar-El

Face à ces programmes et entraînements spéciaux, les personnes qui s’occupent du recrutement pour Sar-El feraient passer des entretiens « aux Juifs et aux non-Juifs pour s’assurer que ce ne sont pas des fadas », renchérit la connaisseuse anonyme. Un responsable aurait certifié à cette dernière qu’il avait déjà remarqué des « racistes anti-arabes ou d’extrême droite » :

« Il les avait refusés car ce n’était pas l’esprit du volontariat. C’était dangereux ».

https://backend.streetpress.com/sites/default/files/sarel6_1.jpg

Face à ces programmes et entraînements spéciaux, les personnes qui s’occupent du recrutement pour Sar-El feraient passer des entretiens. / Crédits : Instagram

Un relais de propagande

Le programme est moins populaire que dans les années 2000 ou au début de la dernière décennie. Le nombre de volontaires « stagne voire baisse », selon la source anonyme. Mais même s’il a moins la cote, le volontariat continue d’être un moyen de propagande efficace et pas cher. Sa légende a été gonflée en ce sens. Selon l’organisme, le programme est né en 1982, quand Israël est en guerre au Liban pour l’opération « Paix en Galilée ». Les agriculteurs du Golan, une région dans le nord du pays, sont appelés sous les drapeaux et doivent laisser leurs récoltes. Pour éviter qu’elles ne soient perdues, le général à la retraite Aaron Davidi appelle des Juifs américains en renfort. Mais pour certains universitaires, la guerre au Liban et la création du volontariat sont deux événements contemporains mais « objectivement séparés ».

Cette légère réécriture de l’histoire s’inscrit dans le « complexe de Massada », détaille Iris, une ancienne volontaire. « C’est cette idée que l’État d’Israël a besoin d’être soutenu. C’est quelque chose qui permet d’entretenir la solidarité avec les Juifs de la diaspora », appuie-t-elle. Cette dernière est partie en 2014, avant la guerre de Gaza entre le Hamas et Tsahal. Elle a eu « une sorte de déclic » quand elle est rentrée et qu’elle a vu le début des combats. Qu’elle soit « sioniste » ne l’a pas empêchée de s’interroger sur son engagement :

« Même si tu fais du volontariat civil sur place, c’est tout sauf neutre d’aller soutenir l’armée israélienne, qu’on considère ça bien ou mal. »

Inspirée par cette expérience, elle a prolongé sa réflexion via un mémoire sur le sujet : « Les volontaires juifs de France vers Israël depuis les années 1940 ». Elle y souligne que le « service » que propose Sar-El se place « entre tourisme et sionisme ». Un habile moyen de propagande.

Une stratégie pour relancer l’alya

À l’époque de sa création, le volontariat a également été vu comme un moyen de relancer l’alya – terme qui désigne l’immigration des Juifs en Israël –, au point mort comme l’explique un article du Monde de 1983, intitulé : « Les volontaires cambouis de la Terre Promise ». Presque 40 ans plus tard, la stratégie a porté ses fruits. Certains utilisent bien le volontariat pour se donner un avant-goût du service militaire obligatoire. « C’est sûr qu’il y a déjà un pourcentage de personnes qui vont là-bas car elles ont comme projet de s’engager dans l’armée », affirme la jeune Chani, qui a discuté de ce sujet avec d’autres groupes lors du weekend de Shabbat, où les volontaires quittent la base militaire. Iris et Camille ont aussi eu ces conversations avec d’autres volontaires. « Quand tu vas en Israël ce n’est pas que pour aller à la plage. Tout le monde doit faire l’armée. J’ai choisi de le faire parce que ça m’intéressait et aussi parce que j’avais envie de voir comment fonctionne une base militaire, cette autre partie d’Israël que je ne connaissais pas », explique Thalie, qui a envisagé de faire son alya il y a quelques années.https://backend.streetpress.com/sites/default/files/israel13_1.jpg

À l’époque de sa création, en 1982, le volontariat a également été vu comme un moyen de relancer l’alya / Crédits : Instagram

La stratégie de Sar-El ne marche pas à tous les coups. Camille est partie en 2005, à 16 ans. Si elle concède qu’elle a vécu une expérience intéressante, elle a, après coup, « plutôt regretté de participer aux rouages de l’armée israélienne ». Elle se souvient notamment d’une veillée où des militaires de Tsahal lui avaient présenté des armes. « Ils nous ont montré le fonctionnement et il y avait un militaire un peu fougueux, un peu jeune, un peu con je trouve, qui nous a dit : “Voilà, là tu peux tirer à bout portant” », raconte-t-elle. Tout d’un coup, le camp, le treillis et les pistolet-mitrailleurs sont devenus « très réels » :

« Dans mon esprit, je ne voyais pas un ennemi en face mais un être humain, et je n’avais pas envie qu’il se fasse défoncer. Quand tu es jeune, tu ne te rends pas compte de ce que tu fais et l’impact que cela a. »

(1) Le prénom a été changé

streetpress.com

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer