Les écouvillons pour le dépistage du COVID et la manière dont il sont utilisés pourraient compromettre votre barrière hémato-encéphalique

Pourquoi les tests de dépistage du COVID peuvent-ils constituer une menace sérieuse et compromettre votre santé ? Sont-ils fiables ?

(Tiré d’un blog pour assurer le maximum de partages – mise à jour 21 juillet 2020)

ÉCOUVILLONS = DANGER !

Protégez votre barrière hémato-encéphalique

Vous devez absolument protéger votre barrière hémato-encéphalique.

La fameuse « BBB » ou « Blood Brain Barrier ».

Comme c’est expliqué dans cette page, votre cerveau, avec ses nombreuses fonctions essentielles à la vie, est protégé contre les substances potentiellement nocives dans la circulation sanguine par une structure en forme de clôture appelée barrière hémato-encéphalique.

Pourquoi en parler maintenant, plus que jamais?

Ils savent très bien que l’endroit où ils effectuent le frottage permet de briser la barrière protectrice du cerveau

Tout simplement parce que l’endroit EXACT où les « testeurs » (avec le fameux test de « long Q-Tip » menant à l’interprétation RT-PCR de l’échantillon obtenu) obtiennent votre échantillon (pour le « COVID-19 ») s’appelle « barrière hémato-encéphalique ».

On répète, doucement.

Les testeurs avec leurs écouvillons –qu’ils vous rentrent (vraiment loin) jusqu’à TOUCHER la DERNIÈRE BARRIÈRE PHYSIQUE avant d’arriver à votre cerveau– mettent votre barrière hémato-encéphalique EN DANGER.

Relisez la phrase ci-haut autant de fois que nécessaire. Comprenez la nature du DANGER réel à chaque écouvillonnage.

Une seule couche de cellules vous protège contre les risques graves de méningites et autres infections cérébrales

Bon, on continue…

Alors on sait que l’écouvillon qui se rend jusqu’à votre barrière hémato-encéphalique met votre cerveau en danger mais au fond, c’est toute votre santé qui pourrait en être affectée.

Gardez à l’esprit que la barrière hémato-encéphalique, ce n’est qu’une seule couche de cellules qui protègent votre cerveau contre…

les métaux lourds;

les pesticides;

et autres substances toxiques

Ces substances ne devraient JAMAIS passer votre barrière hémato-encéphalique (BHE).

« Le cerveau, avec ses nombreuses fonctions essentielles à la vie, est protégé contre les substances potentiellement nocives dans la circulation sanguine par une structure en forme de clôture appelée barrière hémato-encéphalique.

La barrière hémato-encéphalique, ou BHE, est un réseau monocellulaire de cellules réunies par des jonctions serrées qui empêchent la plupart des substances de pénétrer et permettent à peu de substances de pénétrer dans le cerveau.

Les substances toxiques généralement exclues comprennent les métaux lourds, les pesticides, les PCB ainsi que les protéines nocives tandis que les substances autorisées sont l’oxygène, les hormones et les nutriments. » [3]

Grâce à la BHE, ces poisons ne se rendent pas à votre cerveau MAIS lorsqu’il se produit un FROTTIS sur votre BHE, grâce au très long écouvillon (que le testeur tourne allègrement, sans aucun égard aux dommages permanents qu’il peut causer à votre BHE), votre BHE peut être affaiblie ou autrement altérée.

Sachez que la barrière hémato-encéphalique laisse passer…

les nutriments essentiels;

l’oxygène; et tout ce qui DOIT atteindre le cerveau.

C’est donc absolument ESSENTIEL de maintenir la santé intégrale de votre BHE.

Si d’une manière ou d’une autre, votre barrière hémato-encéphalique est COMPROMISE, elle devient une barrière hémato-encéphalique qui fuit.[3]

Une barrière hémato-encéphalique compromise met votre vie en réel danger

Lorsque votre BHE « fuit » ça provoque l’inflammation du cerveau.

Cette inflammation permet aux bactéries et aux autres toxines d’entrer dans votre cerveau et d’infecter les tissus cérébraux.

Ceci peut entraîner une inflammation (ce qui empire votre cas) et même parfois, la mort.

Fig. 1: La barrière hémato-encéphalique n’est constituée qu’un seule couche de cellules qui protègent votre cerveau

Chaque écouvillonnage est donc EXTRÊMEMENT DANGEREUX pour votre BHE… et votre santé… voire, votre vie.

Mais il y a BIEN PLUS DE SYMPTÔMES (à court et à long terme), lorsque la BHE est compromise.

Ça comprend…

l’autisme

le TDA

le TDAH

les maladies cardiques

les maladies auto-immunes

le cancer

les maladies neurodégénératives

les accidents vasculaires cérébraux (AVC)

les lésions hépatiques

la fatigue chronique (qui n’est PAS résolue par le repos)

l’hypoxie

l’anxiété

les troubles de l’humeur

la dépression.

D’autres problèmes de santé mentale, comme la schizophrénie, les convulsions, la perte de mémoire et le déclin cognitif entraînant la maladie d’Alzheimer ou la démence, un flux sanguin insuffisant vers le cerveau et une activité cérébrale anormale.

« Une BHE qui fuit peut causer:

Capacité mentale réduite, difficulté de concentration ou multitâche, perte de mémoire à court et à long terme, collectivement appelés brouillard cérébral, via une activation prolongée des mastocytes;

Une augmentation des plaques autour des cellules nerveuses interrompant leur fonction et bloquant leur apport en nutriments, un processus plus communément appelé maladie d’Alzheimer;

Changements dans le transport des molécules entre le cerveau et la circulation sanguine pouvant mener à la maladie de Huntington;

Inflammation cérébrale et dommages oxydatifs, augmentant le risque de schizophrénie;

Flux sanguin insuffisant ainsi qu’une activité cérébrale anormale pouvant causer la dépression. » [3]

Ça c’est une liste des dangers auxquels vous vous exposez lorsque vous laissez un « écouvillonneur » vous « écouvillonner » les fond de la cavité nasale, pour y faire un « frottis » directement sur votre barrière hémato-encéphalique.

Une BHE compromise vous expose potentiellement à tous les dangers mentionnés ci-haut.

Et rien ne dit que vous n’aurez qu’un seul de ces dangers, à la fois. Vous pourriez donc en avoir plusieurs, en même temps.

CONCLUSION

Maintenant, en comprenant le DANGER RÉEL auquel vous vous exposez en laissant cet écouvillon aller « chatouiller » (lire: agresser) votre barrière hémato-encéphalique, imaginez si l’embout de ce long écouvillon était CONTAMINÉ [ou contenait des nano-particules, des métaux lourds, ou autre toxines – NDLR].

Oui, des milliers d’écouvillons ont DÉJÀ été qualifiés d’inutilisables parce qu’ils présentent un risque de contamination.[2]

Santé Canada confirme la contamination de 380 000 tests de dépistage

« Santé Canada a confirmé à Radio-Canada que 380 000 trousses de dépistage de la COVID-19, appelées écouvillons, ont fait l’objet d’un rappel urgent du 28 mars au 3 avril en raison d’un problème de contamination.  » (Radio-Canada, 27 avril 2020 ) [4]

Avez-vous idée du dommage que ça peut vous causer?

Pouvez-vous sérieusement avoir confiance en ces écouvillons qui arrivent, pour la quasi-totalité, de la Chine?

– Claude Gelinas, 07 juillet 2020

Note de l’éditeur: Pour notre part, il est invraisemblable voir impossible que des tests aussi sophistiqués et cruciaux que ceux pour le Covid et produits dans des laboratoires spécialisés puissent être contaminés ACCIDENTELLEMENT. Cela ne fait aucun sens. La seule explication logique est qu’ils auraient été contaminés volontairement.



Mise à jour:



Il faut savoir que le fond de la cavité nasale, au-dessus du nasopharynx, à l’endroit où l’on retrouve l’artère sphénopalatiale, il y a une paroi osseuse poreuse.

Si l’écouvillon est appuyé trop fort, il peut passer au travers de cette paroi osseuse poreuse. Un père de famille m’a d’ailleurs écrit pour me dire que son fils était entre la vie et la mort suite à un écouvillonnage mal effectué qui a transpercé cette paroi osseuse poreuse. Aux dernières nouvelles, son fils est encore entre la vie et la mort.

De sorte qu’un écouvillon demeure dangereux, même si ce n’est pas directement lié à la barrière sang-cerveau, par exemple au moment de la rupture d’un des nombreux vaisseaux sanguins (plutôt fragiles) dans cette zone reculée de la cavité nasale), dont la très importante artère sphénopalatiale qui est connectée directement au même système sanguin qui irrigue le cerveau.

Ma première impression, quand j’avais fait mes recherches, était que si cette artère était compromise, quelle pouvait laisser passer des contaminants qui se retrouveraient ensuite, vraisemblablement, dans le système circulatoire artériel ou veineux du cerveau et dès lors, vu cette nouvelle charge de contamination pouvait ajouter au travail de la BHE dans le système circulatoire du cerveau.

C’est là et très exactement là que je me serais trompé.

Même le médecin que j’avais précédemment consulté (de manière confidentielle parce qu’aucun médecin que je connais ne veut être publiquement identifié) m’avait dit que j’avais raison pour ensuite dire qu’il n’était plus trop certain. J’ai compris que toute cette histoire de BHE est passablement complexe mais bon, je sais reconnaître quand je me trompe!

Apparemment que ça n’avait pas de lien direct mais encore là, je n’ai pas réussi à trouver de littérature médicale qui me confirmait hors de tout doute qu’un rupture dans le système circulatoire sanguin de la cavité nasale ne pouvait pas mener à une forme ou une autre de compromission de la BHE, dans le cerveau (dans une 2e temps, suite à une éventuelle contamination).

Et là, on ne parle même pas des écouvillons contaminés qui auraient semble-t-il été aseptisés (avec un niveau d’efficacité qui demeure l’objet d’incertitudes). Ces écouvillons contaminés auraient dû être jetés, aux poubelles, sans autre considération mais non, ils ont été en quelque sorte, recyclés pour être utilisés, malgré tout, avec la promesse d’avoir été « décontaminés ».

Les écouvillons étaient-ils contaminés par des champignons ou une autre forme de moisissure?



– Claude Gelinas, 21 juillet 2020 pour la mise à jour

Références:

1) https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=19&t=1462&sid=3cf74b04d20d5918424a9c2a7228fdc4

2) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

3) https://mindd.org/leaky-brain/

4) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1697967/sante-canada-contamination-covid-19-rappel-esbe-scientific

5) https://www.youtube.com/watch?v=SuWYueDHdQI

https://degraw.substack.com/p/national-security-alert-covid-tests- Ghislain Martel  (+)Publié le 14 juillet 2020 — modifié le 19 aoû 2020

Le masque comme symbole de soumission

Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections. – The New England Journal of Medicine, 21 mai 2020

(T)hey nous a dit exactement ce qui allait arriver, et nous a conseillé de nous taire et de suivre les ordres. Malheureusement, la plupart des gens ont fait exactement cela. – CJ Hopkins, 2020

Il est difficile d’imaginer une attaque plus cruelle contre la famille que la prévention insidieuse des contacts de personne à personne.

Ce qui équivaut à une assignation à résidence, plus le port forcé d’un masque, plus l’ordre de rester à distance des autres, a pour but déclaré de prévenir la contagion, mais comme l’a dit récemment le philosophe Giogio Agamben, « C’est une contagion politique, qu’on le comprenne ». Il a raison. La contagion qu’il faut contrôler n’est pas virale, mais politique. La triade des mandats officiels entrave la communication qui ne peut être contrôlée. En ligne, un discours et une stratégie politiques non autorisés peuvent être enregistrés pour le dossier de l’individu. Dans la rue, ce n’est pas le cas, du moins pas encore.

En 1933, Hitler a suspendu la Constitution de Weimar suite à l’incendie du Reichstag. Les droits des citoyens prévus par cette Constitution ont été abolis et n’ont jamais été rétablis.

Un drame similaire continue de se jouer aux États-Unis depuis l’attaque du 11 septembre, qui a donné lieu au Patriot Act (au titre ironique) qui bafoue la Constitution US, donnant ainsi libre cours aux services de renseignement de la nation de concert avec les géants des médias sociaux. Le tout premier amendement est nié en fonction de la définition que quelqu’un donne du « discours de haine » ou de « normes communautaires », des sites d’information et d’opinion étant « dégradés ». Le quatrième amendement est un mensonge caché dans le sens où on a planifié d’enregistrer tous les gestes des citoyens numériquement, et malheur aux personnes qui enfreignent les règles.

Le confinement n’a jamais vraiment été lié à une pandémie. Covid19 n’en était que le prétexte. Bill Gates lui-même a admis (dans un moment sans surveillance ?) que les précédents SRAS et MERS étaient plus « mortels« , c’est-à-dire plus meurtriers, que le virus Covid19. Pourtant ces virus sont arrivés et repartis sans  provoquer l’effondrement de l’économie. Mais il y a plus que l’économie, c’est la vie quotidienne telle que nous la vivons tous qui a été une des principales visées du confinement. Mettre fin au verrouillage demain ne suffirait pas à réparer les dommages déjà causés. Nous avons été psychologiquement éprouvés et il n’y a pas de solution en perspective. Des avertissements de « pics » et de nouvelles vagues nous sont communiqués quotidiennement. Oui, d’innombrables emplois et entreprises sont sont en train de disparaître, mais c’est l’impact psychologique dévastateur qui se répercute sur toute la société qui est indéniable. Les séquelles émotionnels et psychiques ne se résorberont pas de sitôt. Comme prévu, nous sommes désorientés et le serons pendant des décennies, alors que les « internationalistes conspirateurs », comme les appelle David Rockefeller, nous préparent à une vie correspondant à leur dessein mondialiste.

Les masques en tissu que l’on voit partout aujourd’hui sont devenus symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en suspension dans l’air, ils n’empêchent pas le passage des virus, comme le montre l’avertissement sur une boîte du type de masque que l’on voit couramment. Au mois de mars, l’expert préféré des médias, Anthony Fauci, a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que : « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque ». Deux mois plus tard, alors que les demandes de confinement s’intensifiaient, il a changé d’avis et s’est prononcé en faveur du masque en tant que « symbole destiné à être vu par les gens ». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole – un symbole de soumission.

Vivre en toute liberté comporte un niveau de risque tout à fait normal. En plus des divers germes et parasites qui font partie de la nature, il y a les coups de foudre, les collisions de voitures, les chutes dans les escaliers et la proie éventuelle des criminels – principalement des représentants de nos gouvernements. Nous sommes impliqués dans une campagne de terreur fabriquée par un groupe de personnes puissant qui considère que la majorité de la société est un troupeau à contrôler. Ceux qui comprennent cela, mais qui portent néanmoins un masque simplement pour se conformer à ce qu’ils supposent être le choix de la majorité, se se laissent prendre à cette arnaque. Enlevez ce satané truc ! Respirez en toute liberté !

Bill Willers

Article original en anglais :

The Mask as a Symbol of Subjugation

Dissident Voice 3 juillet2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.

Photo en vedette : Pikist.com

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Bill Willers est professeur émérite de biologie à l’université du Wisconsin à Oshkosh. Il est fondateur du Superior Wilderness Action Network et rédacteur en chef de Learning to Listen to the Land, et de Unmanaged Landscapes, tous deux publiés par Island Press. Il peut être contacté à l’adresse willers@uwosh.eduLire d’autres articles de Bill.La source originale de cet article est Dissident VoiceCopyright © Bill WillersDissident Voice, 2020

Coronavirus et manipulation politico-sociale : le masque comme rite de passage vers un Nouvel Ordre Mondial…

En ce 14 juillet 2020, Macronus 1er vient de rendre obligatoire les masques dans les lieux publics clos devant une crainte d’une “seconde vague” du virus qui ne viendra pas, mais surtout comme mesure d’imposition d’une nouvelle “norme” sociale de la paranoïa et du contrôle organisés.

Toute cette affaire du SRAS-CoV-2 ou “nouveau coronavirus”, organisme génétiquement créé en premier lieu, dans un laboratoire de l’université de Caroline du Nord (Coronavirus saga : Le CoVD19 créé dans un labo de Caroline du Nord avec les subventions de la CIA et de l’USAID pour une guerre biologique contre les peuples…), avant sa militarisation dans les labos secrets du Pentagone et son larguage à Wuhan par une fausse équipe sportive militaire yankee “participant” aux jeux inter-armées en octobre 2019, emprunte pas à pas tous les méandres d’une vaste opération planétaire d’ingénierie sociale pour la transformation de nos sociétés en quelque chose de bien plus contrôlable à souhait, toujours sous le coup du thermostat de la tension dont le curseur est monté et descendu le long de sa coulisse, faisant passer le statut psychologique collectif de “crainte” à “peur” jusqu’à “terreur” et “panique” selon les besoins oligarchiques du moment.

A ce titre, une menace invisible, virale, aux effets gonflées à dessein par des gouvernements et des merdias complices, est bien plus efficace qu’une menace terroriste. Plus personne en effet ne croit qu’un « islamiste » se planque sous son lit, le mousseux est éventé, place donc au nouveau croquemitaine : le bien antipathique et terrifiant Bébert Corona alias COVID19 !

Hail Bébert !…

L’oligarchie eugéniste, malade de toujours plus de contrôle, mène nos sociétés vers une société de la grille de contrôle mondialisée, vers une nouvelle société de la dictature technotronique qui verra l’IA, les drones, l’internet des choses via la 5 puis la 6G, le nano-puçage, et le contrôle “sanitaire” paranoïaque total, contrôler à outrance nos vies quotidiennes à l’échelle planétaire. Les ordures aux manettes sont en train de nous faire passer d’une vieille société épuisée à un nouvel ordre mondial de la domination technotronique et elles veulent le faire avec notre “consentement” sanitaire. A ce titre, nous sommes contraints de nous soumettre à un rite de passage de l’une à l’autre des sociétés et comme tout rite de passage ancestral, ceci comprend ses propres stigmates, comme par exemple… le port du masque sanitaire.

Ainsi dans une 1ère phase, le masque est présenté comme inutile et même dangereux pour la santé, ce que soutient la science, car il n’est pas sain de porter un masque de la sorte des heures par jour. Puis on entre dans la 2ème phase où le masque est présenté comme le symbole de la survie, barrière ultime pour un nouveau virus qui ne fait pas plus de mort que la grippe saisonnière, même en gonflant les chiffres et râclant les fonds de tiroirs des morgues hospitalières. Il est avéré aujourd’hui que le taux de mortalité du CoV19, hors facteurs de co-mortalité, est de l’ordre de 0,45%, celui de la grippe saisonnière étant de 0,35%.

A Yankland, des officiels de la santé apparaissent à la TV pour dire aux gens de garder le masque même chez eux, prochaine étape, dormez avec, faites tout avec en fait ! Qui n’a pas vu une personne seule dans sa voiture avec son masque ?… Le conditionnement est en marche et fonctionne dans la vaste majorité des cas ! Pourtant, il suffit de dire NON !

Ainsi, le masque devient une espèce de “rite d’initiation” de masse à un nouveau paradigme social complètement construit, comme le furent l’État, les institutions, le commerce, l’argent et les modes de contrôle, au fil de l’histoire. Ces rites de passage existent depuis des millénaires et sont devenus courants dans les sociétés secrètes, dans l’armée qui n’est qu’un gigantesque rite d’obéissance et de soumission à tout un système.

Les rites d’initiation renforcent le désir de se conformer, d’appartenir à un groupe, et donc par ce truchement d’obtenir une validation identitaire. La méthodologie rituelle est presque toujours identique quelque soit le lieu ou le temps où elle prend place.

1) Dans un premier temps, l’initié est placé en isolement, ce qui le conditionne psychologiquement à ce qui va suivre et insiste sur l’importance du processus

2) Ses routines quotidiennes sont chamboulées à dessein afin de faciliter le passage aux nouvelles “normes”. Ceci relativise sa réalité, “désacralise” l’établi et le prépare au changement à venir.

3) Normalisation visuelle des initiés entre eux, comme avec par exemple le port d’un uniforme, se raser la tête, le tatouage, la scarification ou le port d’un objet, d’un artifice distinctif. Le but est d’annihiler l’identité individuelle de chaque initié(e) pour la remplacer par une identité collective et contrôlable à souhait. De la même manière, l’initié(e) se sent partie intégrante du groupe, puis…

4) L’initié(e) est mis(e) en situation traumatique de plus ou moins grande intensité. Une confusion et une angoisse plus ou moins importantes sont induites, à ce moment psychologique vital, l’initié(e) est mûr(e) pour sa transformation d’appartenance.

5) Cet état psychologique favorise l’introduction d’une nouvelle “norme”.

Nous voyons que ce rituel du masque est en train de créer une dissociation entre l’obéissance et la désobéissance, la conformité et la non-conformité, dans un nouveau rapport dichotomique.

Dans un contexte “initié / non-initié”, les initiés sont endoctrinés à voir les non-initiés, les rebelles, comme des ennemis et à agir en conséquence (agressivité, violence, délation, ostracisme).

Dans ce contexte, le port du masque devient une reconnaissance collective et permet aussi d’identifier les “déviants”… et de préparer le terrain pour cette nouvelle escroquerie vaccinale qui vient. Soyons aussi clair là-dessus: aucun vaccin ne peut marcher (si tant est qu’un vaccin puisse être efficace), le virus mute en permanence…
A partir de là, le pas à franchir vers le goulag réalisé n’est plus bien loin, ce n’est plus un pas insurmontable, mais un petit pas, un de ces petits pas de la “nécessité” sociale dans le meilleur des mondes mis en place et que bien des gens trouveront normal de franchir… si on laisse faire et laisse verrouiller cette grille de contrôle planétaire.
Pensons, soyons critiques, unissons-nous, et agissons de concert, flinguons cette dictature en marche avant qu’elle ne nous flingue !

 Source : Resistance71

Le monde au « temps du coronavirus ». Rockefeller et la solution finale..

Les hommes d’acier…

Certaines revues, à prétentions historiques, rapprochent Staline et le régime nazi. En réalité, tandis que de nombreux pays d’Europe adoptaient des lois eugénistes, au XXe siècle, L’URSS refusait d’en instituer, sous l’influence de l’agronome Trofim Lyssenko, lequel niait le déterminisme génétique. Par contre, il suffit de quelques lectures, d’ouvrages traitant d’eugénisme, pour constater que les mesures discriminatoires, instaurées aux États-Unis dès 1907, ont inspiré celles entreprises par les nazis, en 1935. La principale instance chargée d’approfondir cette question fut l’Eugenics Record Office, subventionnée par le magnat de l’acier Andrew Carnegie et celui du pétrole John Davison Rockefeller. Le biologiste Charles Davenport dirigeait le Cold Spring Harbor Laboratory de Long Island. En 1935, son collaborateur, Harry Laughlin, accepta un doctorat honoris causa pour « sa science du nettoyage ethnique », bien qu’il ne put se rendre en Allemagne, pour y recevoir cet honneur[1].

Quand la philanthropie masque l’eugénisme 

La Fondation Rockefeller est demeurée active et en lien avec les nazis, avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. En ce moment, les sceptiques et ceux qui sont las de se faire affubler du nom de conspirationniste, peuvent accéder au site de cette fondation. Un document y est consacré au coronavirus[2]. Le niveau de rédaction anglaise ne s’y avère pas très complexe et des illustrations accompagnent chaque texte, pour en assurer la compréhension. Je vous invite donc à consulter ce mémoire et à en méditer tout particulièrement la page 18.

Voici un petit résumé des mesures qui y sont exposées :

  • La création d’une brigade munie d’appareils électroniques et de thermomètres, afin de tester en permanence les promeneurs dans leur quartier, les automobilistes lors d’une traversée de barrage routier ou pont à péage, en pouvant obliger au confinement tout individu présumé porteur du virus, en s’autorisant à vérifier ses réseaux sociaux, afin de forcer au confinement toutes les personnes avec lesquelles ce citoyen aurait été en contact, ainsi que décider du temps de confinement de chacun et qui aura la permission de retourner au travail;
  • Le droit d’arrêter des gens suspects d’être des « asymptomatiques » potentiellement porteurs de virus, ce qui représente un abus de pouvoir envers quiconque déplaît aux autorités
  • On y affirme qu’un individu ayant été atteint par le coronavirus, en dépit du fait d’en être guéri, pourrait à nouveau s’en voir infecter, même suite une vaccination. Ce qui suppose un droit permanent à suspecter les gens et à les vacciner à répétition, tout en reconnaissant que ces injections ne garantissent pas l’éradication d’un virus ;
  • On s’affaire à établir une plateforme mondiale, permettant de cibler les zones soi-disant à risque et d’y intervenir, au-delà des lois et des volontés des pays indépendants, ce qui donnerait l’aval à des éliminations eugénistes, sans que le gouvernement local puisse procéder à des investigations, puisque les fabricants des vaccins employés recevraient la promesse de ne jamais être poursuivis en Cour, quel que soit le résultat de la campagne de vaccination, le niveau sécuritaire de leurs soins ou le nombre de décès des gens traités ;
  • L’imposition d’une carte d’identité sur laquelle des informations liées à la santé du détenteur seraient codifiées et disponibles en permanence aux autorités. Les individus ne possédant pas cette carte ne pourraient pas voyager à l’étranger, ni acheter des billets de transport régional, de spectacles ou de joutes sportives.

Le droit d’outrepasser la légalité

Des associations de gens porteurs du VIH ont demandé à garder secret leur état de santé, afin de ne pas subir de discrimination lors d’une demande d’emploi ou de signature d’un contrat d’assurance-vie, et à présent, quelques hommes d’affaires, liés au domaine de l’informatique, de la vente en ligne ou de la pharmaceutique, en collusion avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et la Banque Mondiale, désirent passer outre les États et la Déclaration Universelle des droits de la Personne, en imposant un régime dictatorial mondial, en s’autorisant le droit de confiner des citoyens, d’en emprisonner, de les vacciner, de les suspecter, de contrôler leurs déplacements et toutes leurs transactions, en s’attribuant, eux, L’IMMUNITÉ TOTALE  et l’impunité complète.

Le Président des États-Unis, Donald Trump, viole la loi anti-népotisme, votée par le Congrès de son pays, en 1967, en nommant son beau-fils, Jared Kushner, en tant que conseiller spécial[3]. Ce dernier n’étant expert ni en biologie ni en médecine, dicte les mesures à prendre face au coronavirus.

Qui peut croire que l’ancien magnat de l’informatique, Bill Gates, soit devenu soudainement philanthrope ? S’il s’affligeait réellement du sort des Africains, il n’aurait pas permis qu’on emploie des enfants et des adolescents, surveillés à la pointe de fusils, dans les mines de la République Démocratique du Congo, pour y extraire le cobalt qui entre dans la fabrication des téléphones cellulaires et des ordinateurs. Ni lui, ni les dirigeants de Samsung, Sony, Apple, Dell, Google ou Tesla, ne procédèrent à des vérifications, pour s’assurer que leurs appareils n’intègrent pas de terres rares, extraites des mines par des enfants, dans des conditions périlleuses et malsaines[4].

Coup d’État et ressources naturelles

Le Canada n’est pas étranger à ce type d’exploitation, puisque l’ex ministreministre des Affaires étrangères (2017-2019) Crystia Freeland a soutenu le coup d’état qui mit fin au gouvernement légal d’Evo Morales, en Bolivie. Une visite officielle d’Ivanka Trump et son époux Jared Kushner, en Argentine, à la frontière de la Bolivie, servie à s’assurer que les mines de lithium, concentrées autour des trois frontières (Argentine, Chili, Bolivie), seront accessibles aux entreprises supranationales. Pendant ce temps, Milagro Sala, représentante de l’organisme Tupác Amaru, défenderesse des droits des autochtones vivant sur le territoire convoité, est confinée à son domicile, après avoir été maintenue en prison durant la gouvernance de Mauricio Macri, ex-président d’Argentine. Par une malencontreuse coïncidence, le gouverneur de Jujuy, lieu de la prospection minière, docile aux dictats états-uniens, se nomme Gerardo Morales[5]…

Si ces faits ne sont pas suffisants pour les sceptiques, la question est la suivante : croyez-vous que les politiciens et affairistes qui ne voient aucune urgence à assainir l’environnement, lorsque les mesures à prendre semblent coûteuses, se préoccupent sincèrement de la santé des individus faibles et des vieillards, en promouvant une vaccination mondiale ?

Pour se lancer dans une telle entreprise, il faut qu’elle soit lucrative. Et cette motivation est l’unique préoccupation de ces individus.

En fait de droits et de services sociaux, les États-Unis représentent le pire modèle au monde, compte tenu qu’on donne à ce pays l’épithète de riche. En conséquence, il est injustifiable de prétendre que l’on doive procéder à une vaccination mondiale, parce qu’une minorité de gens risquent déjà de mourir, de problèmes cardio-respiratoires, d’un cancer, du SIDA ou du diabète.

Cette éventuelle vaccination intensive d’individus, non atteints par le Covid-19, serait un acte totalitaire, ou soit un attentant contre tous les droits humains. D’autant plus lorsque l’on sait que ce vaccin pourrait entraîner le décès d’entre 10% et 15% de ceux qui le recevront et n’ayant pourtant aucun risque de périr du coronavirus.

Comment des États qui se prétendent démocratiques, « non dictatoriaux », peuvent-ils promouvoir une opération massive pouvant risquer la vie de centaines de milliers de gens sains, parce qu’un pourcentage à peine plus élevé de gens déjà faibles peuvent être contaminés ?

Une société démocratique ne devrait jamais promouvoir la méfiance mutuelle et l’individualisme, en recommandant une distanciation sociale et de ne pas assister la victime d’une faiblesse ou d’une chute. Il est impératif de fortifier notre système immunitaire.

Porter un masque entrave la respiration et fait réabsorber le dioxyde de carbone nocif, éjecté à l’expiration.

Actuellement, les causes de mortalités qui, normalement, seraient corrélées aux troubles cardiorespiratoires, au SIDA, au diabète ou au cancer, sont attribuées sans vérification au coronavirus, afin de maintenir la population dans la croyance d’une menace plus importante qu’auparavant et qui serait permanente.

Au Québec, le gouvernement défraie une partie des indemnités aux compagnies d’assurance-vie. Certains décès sont donc attribués au Covid-19, ce qui permet aux assureurs de réduire leurs versements, auprès des familles des souscripteurs défunts.

Étant donné qu’il est devenu difficile de discuter avec des gens qui n’ont d’autre argumentation que répliquer « Tu exagères » ou « que l’on voit des complots partout », voici quelques phrases pour aider à penser, tout en enjolivant les masques que l’on porte « pour ne pas contaminer les autres » lorsque nous n’avons pas la grippe…

~ Ça gaze ? Carbonique…

~ Écolo ! Ravalez votre CO2 !

~ Pas un GES hors du masque !

~ Souriez, vous êtes filmés

~ Tout ira bien… pour Gilead Science

~ J’enrichi Bill Gates et Jared Kushner

~ Oui à la loi de la laïcité !

Un masque avec une ouverture, pour les fumeurs et buveurs de bière socialement responsable. Et pour les réfractaires :

~ Pandémie ? On ne s’y Trump pas.

~ Jared dont dû me méfier…

~ Vacciné contre l’absurdité !

~ La dictature du capital démasquée !

~ Finie la liberté d’expressions

Et le plus fameux slogan : Bill Brother vous regarde…

Image en vedette : Capture d’écran avec la statue d’Atlas masquée du Rockefeller Center à New York.

Maryse Laurence Lewis

Notes:

[1] The Harry H. Laughlin Papers, Truman State University

German letter from Heidelberg about H. Laughlin’s honorary degree

« P. G, » about German eugenics

« Classification standards, » by Harry H. Laughlin

[2] Le site : TheRockefellerFoundation_WhitePaper_Covid19_4_22_2020

[3] Concernant la loi anti-népotisme : Sébastien Smith, Agence France Presse, 3 avril 2020.

[4] Apple and Google named in US lawsuit over Congolese child … 

Article du journal The Guardian, publié le 16 décembre 2019.

Mon smartphone est-il lié au travail des enfants ? | Amnesty …

Texte d’Amnistie Internationale émis en juin 2016.

[5] The role of lithium in trade warfare – Observatorio Económico …

  • L’OMS et l’Union européenne veulent des vaccins pour tous, pas de l’eau, Pascal Sacré, Mondialisation.ca, le 20 mai 2020.
  • N.B. Andrew Carnegie est originaire d’Écosse, mais fonda son entreprise aux États-Unis.
  • Bill Brother : allusion au roman d’anticipation de George Orwell : 1984.
  • Veuillez noter que mon texte antérieur, intitulé : Le Covid-19 pour les nuls : Virus Gates et influenza mentale, publié sur Mondialisation, à la mention 2), la phrase devrait se lire comme suit : l’infection nommée influenza provoque autant de décès, en regroupant les grippes saisonnières, que le Corona virus.

– Source : Mondialisation (Canada)

Infirmière militaire à l’hôpital épicentre COVID: «c’est un meurtre»

Son nom est Erin Marie Olszewski. C’est une infirmière militaire. Elle a travaillé à l’hôpital qui est présenté comme étant au centre même de la pandémie mondiale, en termes de nombre de cas et de décès.

Sa vidéo est là-bas. Infowars l’a parmi leurs vidéos interdites. David Icke l’a. Solari [dot] com l’a. La plate-forme Brighteon l’a. D’autres l’ont. C’est un témoignage dévastateur, de première main, de l’enquête secrète d’Erin à l’intérieur de l’hôpital Elmhust dans le Queens, New York, «l’épicentre de l’épicentre COVID».

Mais il ne s’agit pas du virus. Il s’agit d’un meurtre à l’hôpital. C’est l’évaluation et la conclusion d’Erin, après avoir travaillé chez Elmhurst.

Je résume l’essentiel de ses découvertes:

À l’hôpital, des patients pauvres, pour la plupart noirs et latinos, entrent et subissent un test de dépistage du COVID-19. Lorsque les tests conventionnels sont négatifs, c’est-à-dire sans COVID, certaines de ces personnes sont néanmoins classées comme cas de COVID-19.

Cela les met dans un train à mort.

Sans raison valable, ils sont placés sur des respirateurs respiratoires. Ils sont sous sédation, pour les empêcher de se déplacer et de ressentir l’inconfort et la douleur de l’intubation invasive.

Mais ces patients sont lourdement sous sédation pendant de longues périodes. Autant qu’un mois.

Complètement coupés du monde extérieur, ils ne se réveillent jamais.

Ce n’est pas un mystère. Tout professionnel de la santé, médecin ou infirmière, SAURAIT QUE LA MORT EST LE RÉSULTAT INÉVITABLE. C’est un protocole pour tuer.

Et bien sûr, la mort des patients est considérée comme «causée par le virus».

Je peux penser à au moins 20 agences new-yorkaises et fédérales qui devraient envahir l’hôpital Elmhurst. Mais il n’y a aucune action de leur part.

Où est la célèbre députée du 14e Congrès, qui comprend l’hôpital Elmhurst? Je parle d’Alexandria Ocasio-Cortez, la socialiste démocrate qui veut un système de santé à payeur unique pour tous les Américains. S’agit-il du type de soins de santé dont elle parle? Pourquoi ne prend-elle pas d’assaut l’hôpital avec des journalistes et des caméras, exigeant des réponses, frôlant les gardes, explosant dans le bureau du PDG de l’hôpital, Israel Rocha, et exigeant de savoir pourquoi les patients meurent sous des ventilateurs?

Où est Bill De Blasio, le maire de New York? Où est Cuomo, le gouverneur de l’État de New York? Nulle part. Ils sont trop occupés avec les verrous punitifs. Trop occupé à détruire l’économie de New York. Trop occupé à détruire la vie de millions de New-Yorkais avec leur attaque économique folle. Trop occupés à jouer avec leurs électeurs «libéraux», qui sont fidèles au nouveau zombie normal avec leurs masques totalement inutiles.

Où sont les journalistes de New York? Pourquoi ne campent-ils pas à l’hôpital Elmhurst pour demander des réponses et dénoncer les délits capitaux?

Où sont les manifestations publiques à l’hôpital? À l’intérieur de ces portes, beaucoup de gens NE PEUVENT PLUS RESPIRER. Mais dans ce cas, cela n’a rien à voir avec un flic qui a le genou sur le cou d’un homme noir. Cela a à voir avec une norme de soins médicaux qui pousse à mort les patients dans le train. Si les journalistes locaux et la députée Ocasio-Cortez faisaient leur travail, vous verriez certainement ces protestations, et toute la vérité fétide éclaterait pour que le monde le sache.

Qu’en est-il des médecins et des infirmières de l’hôpital Elmhurst? Qu’ont-ils à dire? Qui a mis en place le protocole de la mort? Pourquoi ces professionnels de la santé «suivent-ils simplement les ordres?» Qui donne les ordres? L’étiquetage des patients «COVID-19» apporte plus d’argent d’assurance à l’hôpital. Cela est évident. Mais qu’en est-il de la mort induite? Est-ce simplement le résultat d’une froide indifférence? À un moment donné dans la vidéo, Erin dit que, même si elle travaille avec des gens bien, il y en a d’autres, et apparemment pour eux, les patients sont des êtres humains «jetables».

Ces médecins et infirmières d’Elmhurst connaissent sûrement la vidéo d’Erin. N’ont-ils rien à dire? Ne supposeriez-vous pas qu’ils se défendraient? Jusqu’à présent, je ne vois et n’entends rien d’eux. Sont-ils obligés de garder la bouche fermée? Si oui, pourquoi? S’ils ne commettent pas de crimes horribles, pourquoi devraient-ils garder le silence?

Et ne présumez pas qu’Elmhurst est le seul hôpital où des décès par meurtre médical se produisent. Ne présumez pas que New York est la seule ville où cela se produit.

Dans une revue générale que j’ai souvent citée, les décès annuels aux États-Unis causés par des mauvais traitements et des erreurs médicaux, dans les hôpitaux, sont de 119 000. Et cela n’inclut pas les décès causés par l’administration de médicaments approuvés par la FDA. CE nombre serait de 106 000 par an. (Journal de l’American Medical Association, 26 juillet 2000, Dre Barbara Starfield, École de santé publique Johns Hopkins, «La santé aux États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde?» )

Aller de l’avant. Additionnez ces chiffres. C’est 225 000 décès par an entre les mains des médecins. Cela représente 2,25 MILLIONS de décès en Amérique, par décennie, causés par des médecins.

Il est temps que le peuple américain commence à prêter attention à la troisième (peut-être la première) principale cause de décès dans son pays: les soins médicaux.

L’hôpital Elmhurst dans le Queens à New York est l’épicentre de quelque chose. Mais ce n’est pas un virus.

Écartons le flou médical – passons au cœur du protocole de la mort. Qui l’a commandé? Qui a commencé? Qui l’applique?

Source : woolstangray.eu

« Personne n’est mort du coronavirus »

Révélations importantes du Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

Un célèbre pathologiste européen rapporte que lui et ses collègues de toute l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dû au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’ »organisation médicale criminelle » pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir de preuves objectivement vérifiables d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu‘il estime qu’il est actuellement « impossible » de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’ont identifié aucun anticorps spécifique du CoV-2 du SRAS.

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent de grandes questions, notamment sur les affirmations des fonctionnaires et des scientifiques concernant les nombreux vaccins qu’ils font passer d’urgence aux essais cliniques dans le monde entier.

Elles soulèvent également des doutes quant à la véracité des affirmations concernant la découverte d’anticorps contre les nouveaux coronavirus (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques aux nouveaux coronavirus sont censés être à la base des coûteux kits de tests sérologiques utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés d’une inexactitude inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité convoités par Bill Gates qui sont sur le point d’être largement utilisés – sous la forme du COVI-PASS – dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait des observations stupéfiantes lors d’une interview vidéo résumant le consensus des participants à un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) sur la COVID-19, le 8 mai 2020.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la santé. La vidéo est disponible sur le site web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à une personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales révélations du Dr Alexov, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

L’organisme forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil essentiel en pathologie. L’immunohistochimie, qui consiste à marquer les anticorps avec des couleurs et à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie, permet d’obtenir ces anticorps. Après avoir donné aux anticorps le temps de se fixer aux agents pathogènes auxquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent examiner les lames au microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés, et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SRAS-CoV-2 est présent dans l’organisme, ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile d’écarter le Dr Alexov comme un autre « théoricien de la conspiration ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant de dangereuses informations erronées sur la COVID-19 et d’autres questions.

En outre, le consensus du webinaire du 8 mai n’est guère présent dans les parties de la procédure qui peuvent être vues par le public.

Mais il faut garder à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls, car la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du département d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres arguments en faveur de ce que dit le Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré dans des interviews aux médias qu’il y a un manque frappant de preuves solides de la létalité de la COVID-19.

« La COVID-19 est une maladie mortelle seulement dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale essentiellement inoffensive« , a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Dans une une autre interview, il ajoute :

« Dans un certain nombre de cas, nous avons également constaté que l’infection corona actuelle n’a rien à voir avec l’issue fatale parce que d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [la COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés par des experts ne font qu’alimenter l’anxiété ».

De plus, l’une d’entre nous (Rosemary) et une autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du Off-Guardian du 9 juin que le nouveau coronavirus n’a pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver l’existence d’un virus et sa relation individuelle avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie spécifique correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes qui sont ostensiblement mortes du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme étant à l’origine de cette maladie distincte.

En outre, dans un article paru le 27 juin dans le Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté aux preuves que « l’existence de l’ARN du SRAS-CoV-2 est basée sur la conviction  et non sur les faits« .

Les deux journalistes ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [considérées comme correspondant à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle la COVID-19« .

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que:

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] est que les autopsies qui ont été menées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel ».

Il a ajouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est que personne n’est mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus ».

Le Dr Alexov a également observé qu’il n’y a aucune preuve, à partir des autopsies, que les personnes considérées comme ayant été infectées par le nouveau coronavirus sont mortes uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera l’immunisation et le vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement] pas possible de créer un vaccin contre le COVID. Je ne suis pas sûr de ce que Bill Gates fait exactement avec ses laboratoires – est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose ? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité à identifier des anticorps monoclonaux pour le virus suggère qu’il n’y a pas de base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide de l’existence du virus.

Le Dr Alexov a soulevé des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

[Avec la grippe] nous pouvons trouver un virus qui peut causer la mort d’une jeune personne sans qu’aucune autre maladie ne soit présente […] En d’autres termes, l’infection par le coronavirus est une infection qui ne conduit pas à la mort. Et la grippe peut conduire à la mort ».

(On a signalé des maladies graves telles que la maladie de Kawasaki et des accidents vasculaires cérébraux chez des jeunes qui étaient considérés comme atteints d’une infection par un nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne concernent qu’un seul patient ou une petite poignée de patients. De plus, les commentaires sur ces articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus parce que les auteurs des articles n’ont pas suffisamment vérifié, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est très probable que les décès d’enfants attribués à la COVID-19 sont en fait dus à une défaillance de plusieurs organes résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis).

Le Dr Alexov a donc affirmé que: « l’OMS est en train de créer un chaos mondial, sans qu’aucun fait réel ne puisse soutenir ce qu’elle dit ».

Parmi la foule de moyens utilisés par l’OMS pour créer ce chaos, il y a l’interdiction de presque toutes les autopsies de personnes considérées comme mortes à cause de la COVID-19. En conséquence, selon le Dr Alexov, le 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS dicte que toutes les personnes dites infectées par le nouveau coronavirus et qui décèdent par la suite doivent voir leur décès attribué à la COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, car nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste, dans 100 ans, va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était la COVID-19] ! Nous devons donc être très stricts dans nos diagnostics, parce qu’ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard ».

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi que de Chine, d’Australie et du Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour qu’ils attribuent les décès à la seule COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions [de l’OMS] sans même y réfléchir. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS aussi strictement, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause de la mort, nous devrions avoir des résultats pathologiques [pour étayer cela] et nous devrions suivre le protocole. [Parce que] quand nous disons quelque chose, nous devons pouvoir le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou à infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes considérées comme mortes de la COVID-19 en Italie avaient déjà reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Car, comme il l’a fait remarquer, le vaccin détruit le système immunitaire des adultes et a donc pu contribuer de manière significative à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection).

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos causé par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer parce que les fermetures, combinées à la fermeture des hôpitaux (apparemment pour faire de la place aux patients qui ont contracté la COVID-19), ont interrompu toutes les procédures et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies sont exacerbées par la peur et le chaos qui entourent la COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc affirmer à 200 % que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. Plus précisément, les carcinomes in situ – plus de 50 % d’entre eux vont devenir plus envahissants […] Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie du virus, mais une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress ».

En outre, a déclaré le Dr Alexov, la panique causée par la pandémie a eu pour conséquence directe et désastreuse que de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce qu’à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils me faire confiance dans la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne ne parle de cela ».

Nous avons envoyé plusieurs questions par e-mail au Dr Alexov, lui demandant notamment pourquoi il pense qu’il est impossible de créer un vaccin contre la COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :Cher Patrick,merci pour votre courriel et vos informations. J’accepte à 1000% toutes les informations. En outre, l’OMS a déclaré que les patients atteints de COVID-19 n’ont pas besoin d’autopsie. POURQUOI ?Le petit nombre d’autopsies que nous avons pratiquées en Europe le montre clairement. Personne n’est mort du COVID-19. Nous avons dit très probablement avec le COVID19.Je crois vraiment que l’OMS est la meilleure organisation médicale criminelle.SalutationsDr. St. Alexov MD.Chef du département d’histopathologie

Nous avons également envoyé un courrier électronique à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons assuré un suivi téléphonique auprès de deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû à un manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit à cause de la pression exercée sur les pathologistes pour qu’ils suivent les directives de l’OMS et ne s’expriment pas publiquement. (Et, en plus de cela, les départements de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement).

Néanmoins, des pathologistes comme les docteurs Alexov et Püschel semblent prêts à affirmer que personne n’est mort d’une infection due un nouveau coronavirus.

Peut-être est-ce parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves scientifiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a pas de preuves tangibles que le virus COVID-19 est mortel.

Rosemary Frei

Patrick Corbett

Qui sont les forces se battant pour le gouvernement de Fayez Al-Sarraj en Libye ?

Le dernier changement de marée dans le conflit libyen s’est terminé avec les forces fidèles au gouvernement d’union nationale libyen (GNA) dirigées par Fayez Al-Sarraj qui ont repoussé l’armée nationale libyenne (ANL) et établi leur contrôle sur Tripoli et les environs de la capitale libyenne. 

La couverture de ces développements dans les médias occidentaux a été façonnée selon la justice rétablie par les forces légitimes. Ce récit est-il faux et quelles sont exactement ces forces ostensiblement légitimes ?

Tout d’abord, les récents succès obtenus par le GNA n’ont été rendus possibles que par le soutien militaire apporté par la Turquie, qui a fourni à Al-Sarraj des drones, des conseillers militaires et des combattants syriens recrutés parmi ses milices supplétives connues pour leurs tendances criminelles. Contrairement au récit imposé par l’Occident décrivant les milices du GNA comme une armée régulière légitime, ces forces ne sont guère plus qu’une bande de criminels et d’éléments radicaux financés par les services de renseignements turcs.

Dans cette optique, il est logique que les forces du GNA recourent à tous les moyens, y compris ceux explicitement interdits par le droit international humanitaire. Les partisans du GNA ont cependant choisi d’ignorer ces crimes en fermant les yeux sur les violations des conventions de Genève commises à la fois par les combattants et leurs partisans.

La découverte des preuves de ces crimes ne présente aucune difficulté, car les combattants font peu d’efforts pour les cacher. En fait, ils documentent souvent leurs propres atrocités sans le savoir. L’exemple le plus révélateur est peut-être la vidéo publiée sur la page Facebook officielle d’une milice nommée « Tripoli Protection Force ». La vidéo présente des membres armés du groupe dans un véhicule portant les symboles du Croissant-Rouge. Le raid, montré sur la vidéo, s’est terminé par la capture d’un certain nombre de personnes qui ont été rapidement déclarées agents de l’ANL. La vidéo est toujours en ligne.

Lorsque les militants du GNA ne sont pas occupés à conduire des véhicules médicaux, ils se livrent à la torture de civils comme pour ces travailleurs égyptiens qui ont été violemment battus et maltraités par les combattants. Les ressortissants égyptiens travaillaient à Tarhouna avant que la ville ne soit capturée par les milices fidèles au GNA.

L’Onu a exprimé sa profonde préoccupation concernant la détention et la torture d’Égyptiens à Tarhouna, exhortant les autorités de Tripoli à enquêter sur l’incident. À son tour, l’Égypte a affirmé qu’elle ouvrirait une enquête indépendante, soulignant qu’elle était prête à réagir fermement à l’agression du GNA.

Ces exemples ne sont qu’une petite partie des violations commises par les milices du GNA. Malgré l’appui qu’elle reçoit de l’Onu et de ses soutiens étrangers, le GNA ne pourra pas contribuer à une Libye plus sûre et stable, à moins qu’il n’abandonne les radicaux qui ne respectent pas la loi. Cela a longtemps été évident pour tout le monde sauf les alliés du GNA à l’étranger.

source : http://www.observateurcontinental.fr

COVI-PASS : Bientôt un passeport santé pour pouvoir circuler ou se rassembler ?

Pendant que certains crient au complot quand on leur explique qu’il existe une volonté de créer des systèmes de traçage pour savoir quelles maladies nous avons attrapées et si nous sommes vaccinés ou immunisés, d’autres sont en plein déploiement d’un passeport de santé numérique qui permettra de répondre à ce genre de questions : le COVI-PASS.

◆ Un passeport santé présenté comme LA solution contre le COVID-19

On peut lire sur le site dédié à cet outil technologique, que le COVI-PASS est « le nouveau passeport de santé numérique propulsé par la technologie révolutionnaire et brevetée VCode® et VPlatform® qui a été développée par la firme de cybersécurité britannique plusieurs fois primée, VST Enterprises. »

Ayant reçu un label d’excellence par la Commission Européenne, il est présenté comme « une solution sécurisée, brevetée et fiable » censée nous aider à faciliter « le retour au travail et à la vie en toute sécurité » grâce à « un accès biométrique unique et des informations à jour et authentifiées sur la santé ».

« COVI-PASS ™ est capable d’afficher les résultats des tests Covid-19 passés et actuels » et de connaître « notre réponse immunitaire ».

Il a pour objectif de nous authentifier en matière de santé en connectant notre « ID biométrique personnel + résultat du test Covid-19 + identifiant VCode unique (…) à l’aide d’un appareil intelligent ou d’un lecteur RFID. »

Plus performant qu’un QR Code selon l’entreprise VST, « numérisable à plus de 100m », et lisible  lors de nos « déplacements dans des environnements en ligne et hors ligne », ce VCode pourra centraliser « toute forme d’informations en toute sécurité ». On peut y « stocker n’importe quoi, des détails d’identité, en cas d’informations d’urgence, de dossiers de santé, de méthodes de paiement, de numéros d’immatriculation de voiture, de détails de carte de visite, de liens sur les réseaux sociaux et bien plus encore à partir du même code. »

Covi-pass

◆ Un feu vert ou rouge entre les mains du personnel médical

En ce qui concerne plus spécifiquement le COVID-19, une procédure en 5 étapes est décrite sur le site à destination des professionnels de santé : de la création du compte du passeport numérique, en passant par le test de dépistage, l’enregistrement du  résultat, le suivi post-test, jusqu’à l’attribution du passeport numérique qui permettra au patient « un accès authentifié pour les protocoles de retour au travail ».

« Le professionnel de la santé mettra à jour le résultat sur le système d’administration COVI-PASS ™ et le résultat sera affiché sur le COVI-PASS du patient sous la forme d’un système de feux de signalisation – vert (négatif) ou rouge (positif) à la demande. »

Quel sort sera réservé à celles et ceux qui auront un feu rouge ? Ne pourront-ils plus circuler ou se rassembler ?

Mais soyons rassurés !  « Les informations sensibles ne peuvent être lues que par des personnes autorisées sur demande » et « COVI-PASS ™ ne suit PAS les mouvements de l’individu, préservant ainsi ses protections et paramètres de confidentialité. »

Covi pass

◆ Bientôt des tests de dépistage systématiques ?

Et si on se pose des questions sur la fiabilité des tests, l’entreprise VST a là encore une solution à nous proposer. Elle déclare sur son compte Linked In avoir développé un test  de dépistage 100% fiable et indépendant. Et se félicite d’avoir reçu « des commandes pour près de 80 millions de laissez-passer de santé répartis dans plus de 20 pays ». Les premiers d’entre eux seront « lancés dans les aéroports, les compagnies aériennes, les ports maritimes et dans plusieurs gouvernements au cours des prochaines semaines ».

On peut se demander quel est le plan prévu entre les lignes prévu avec ces vingt pays. Car celui-ci n’est pas détaillé sur leur site. Installer des salles de dépistage dans les aéroports et ports avec des machines à tests pouvant effectuer selon eux « 56 tests par heures », et charger en direct les informations sur le VCode ? Permettre l’accès aux avions et aux bateaux aux seules personnes munies d’un feu vert ? Pas de supputation. Nous veillerons à trouver des réponses dans les semaines à venir.

Plusieurs pays signataires des commandes sont nommés dans cet article de ITP :  sont de la partie notamment le Portugal, la France, l’Inde, les États-Unis, le Canada, la Suède, l’Espagne, l’Afrique du Sud, le Mexique, les Émirats arabes unis et les Pays-Bas.

◆ La technologie et/ou le respect de la biodiversité : des questions éthiques à se poser

L’annonce d’une éventuelle seconde vague épidémique à l’automne nous fera-t-elle accepter massivement ce type de méthode ? Et si quand bien même cette vague arrivait, serait-il nécessaire et légitime d’avoir recours à de telles stratégies pour empêcher ou enrayer la maladie ? Ce COVI-PASS sera-t-il l’une des premières pierres étapes d’une surveillance sanitaire mondialisée et généralisée à d’autres maladies ?

Alors oui, on peut comprendre que personne n’ait envie de se retrouver au milieu de personnes covidées, grippées ou en train de couver une gastroentérite aiguë. Mais que faudra-t-il favoriser au maximum  à l’avenir ? Le renforcement de notre immunité comme le préconise le Docteur Ménat que nous avons interviewé, notamment par une alimentation saine et une biodiversité riche et vitalisée ? Ou la tentative d’évitement ou d’éradication de toute maladie par le vaccin, la distanciation sociale, le contrôle numérique, le masque, ainsi que l’isolement et le karcher chimique au moindre symptôme ?

Ce système de centralisation des données sera-t-il un allié pour trouver un équilibre entre la prévention et la guérison, ou va-t-on basculer dans l’autoritarisme et l’hygiénisme sanitaire ?

Si on ne nous parle pas sur le site consacré au COVI-PASS de puce ou de nanoparticules sous-cutanés, ce traçage numérique pourrait être assimilé à une forme de puçage s’il devenait obligatoire d’avoir à présenter un code scannable pour attester de notre bonne santé et de notre « fréquentabilité ».

Et si le but unique était de sauver des vies et de permettre à chacun et chacune d’entre  nous d’être en bonne santé, voilà bien longtemps que nous aurions créé le « HUNGER-PASS » pour lutter contre la faim dans le monde qui touche en moyenne 1 personne sur 9 sur notre planète et cause 25000 morts par jour.

Estelle Brattesani

Source : nexus.fr

«Nous sommes formés à la désinformation» – Un ancien grand commercial de Big Pharma s’exprime

«Il n’existe pas de médicament sûr.» C’est ce qu’affirme Gwen Olsen, ex-représentante des ventes de produits pharmaceutiques et auteur du livre «Confessions of an Rx Drug Pusher».

Pendant 15 ans, Gwen a vécu un mensonge involontaire, travaillant comme représentante des ventes pharmaceutiques pour certains des plus grands fabricants pharmaceutiques actuels, dont Johnson & Johnson, Bristol-Myers Squibb et les Laboratoires Abbott. Mais au fil d’une série d’événements tragiques, les yeux de Gwen se sont finalement ouverts à la vérité non éthique et tyrannique sur les médicaments pharmaceutiques.

«C’était un processus d’éveil, un processus spirituel et de conscience où j’ai commencé à observer ce qui se passait, ce que faisaient certains médicaments, la désinformation, la désinformation. On m’encourageait à minimiser les effets secondaires lorsque je parlais aux médecins. J’ai commencé à réaliser que ces patients étaient littéralement torturés par les médicaments».

Dans son livre «Tell all», Gwen parle de ses années en tant que représentante des ventes pharmaceutiques, exposant les sales secrets de l’industrie qui sont souvent passés sous silence.

Comme elle l’explique, au moment où un médicament est approuvé et qu’il touche la population générale, nous ne connaissons même pas 50 % des effets secondaires qui sont liés à ce médicament, «Nous étions formés pour désinformer les gens», dit-elle.

Mais dans 2004, une tragédie familiale liée à la corruption de l’industrie pharmaceutique allait tout changer pour Gwen.

«Ma nièce avait 20 ans, elle fréquentait l’université de l’Indiana et elle était étudiante en médecine, une femme extrêmement intelligente et belle, et tout simplement un bel esprit à l’intérieur comme à l’extérieur. Elle a eu un accident de voiture, on lui a prescrit du vicodin hydrocodone pour la douleur, et elle est devenue dépendante».

Gwen dit que les propriétés sédatives de la drogue affectaient la concentration de sa nièce, alors elle a fini par prendre la drogue stimulante, l’éphédrine, pour l’aider à étudier.

«Elle a eu une interaction médicamenteuse et s’est retrouvée à l’hôpital, et ils l’ont marquée d’un trouble bipolaire, et non d’une toxicité ou d’une réaction aux drogues qu’elle prenait. Ils ont commencé à lui donner plus d’antipsychotiques et de stabilisateurs d’humeur, et cela l’a mise sur la voie de devenir une malade mentale».

Malheureusement, la nièce de Gwen a finalement abandonné l’école, après quoi elle a essayé de se sevrer des médicaments qu’elle prenait. Inévitablement, une grave dépression s’en est suivie.

«Sa mère était sur le chemin du retour pour la ramener chez le psychiatre et la remettre sous médicaments. [C’est alors que] ma nièce est entrée dans la chambre de sa jeune soeur et a pris une lampe d’ange remplie d’huile, l’a versée sur elle-même et l’a allumée, se brûlant vive».

Gwen dit que le suicide de sa nièce a été l’étincelle qui a déclenché sa passion pour la diffusion de la vérité sur ce qui arrive à tant d’autres personnes qui souffrent des effets secondaires associés aux médicaments pharmaceutiques.

«C’était une promesse qui lui avait été faite de ne pas laisser sa mémoire être souillée, et de dire aux gens ce qui lui était arrivé. On ne se souviendrait pas d’elle comme d’une personne mentalement ou génétiquement déficiente, je ne permettrais pas que cela se produise. Et je me rends compte qu’il y a des milliers et des milliers de personnes qui ont besoin d’une voix, et je suis cette voix».

Aujourd’hui, l’une des plus grandes préoccupations de Gwen concerne les millions d’enfants qui prennent des antipsychotiques, qui ont connu une croissance exponentielle au cours des dix dernières années. Ces médicaments sont surtout administrés aux enfants placés en famille d’accueil, ce qui les place dans une véritable camisole de force chimique.

«Un grand nombre de psychiatres sont malhonnêtes, car je les vois donner aux gens des médicaments dont ils savent qu’ils sont des thérapies qui endommagent le cerveau, dont ils savent qu’ils n’ont pas de résultats positifs à long terme, dont ils savent qu’ils ne guériront rien. Ils prennent simplement une liste de symptômes et appellent cela une maladie ou un trouble mental».

La subjectivité des diagnostics psychiatriques a créé une alliance lucrative entre les psychiatres, les représentants de la pharmacie et l’industrie pharmaceutique. Il n’y a pas de données scientifiques nécessaires pour diagnostiquer une maladie mentale. Il n’y a pas d’analyses de sang, d’urine, de TEP, ni de preuves médicales requises, ce qui élargit donc considérablement la population de patients potentiels.

«J’étais à la fois désillusionné et en colère lorsque j’ai découvert le degré de tromperie, de désinformation et d’utilisation de ce jeu. J’étais littéralement en première ligne, je faisais du mal aux gens sans le vouloir, mais j’étais responsable. Je porte un fardeau pour cela maintenant».

Vidéo en Anglais :

– Source : Collective Evolution (Etats-Unis)

Chantiers Écologiques Massifs : bâtissons notre autonomie alimentaire

Etant donné l’urgence de la situation, il est temps selon certains de lancer de vastes chantiers agroécologiques locaux sur tout notre territoire, auxquels chacun-e d’entre nous pourra participer dès maintenant, afin d’assurer notre sécurité alimentaire de demain.

◆ Une échéance brève pour parsemer notre territoire de fermes de proximité

« Nous avons deux ans, avant les prochaines élections, pour mobiliser plus de deux millions et demi de citoyens. Et cinq ans pour atteindre l’autonomie alimentaire d’ici fin 2027 » m’explique Boris Aubligine (alias Aubel), co-fondateur avec sa compagne Emilie d’Etika Mondo, écolieu dans les Cévennes où règnent la permaculture, la transmission de connaissances et la volonté de récréer du lien entre l’humain et son environnement naturel.

Quand je vois le temps que ça m’a pris pour faire pousser laborieusement quelques légumes sur une parcelle prêtée par une voisine, en échappant du mieux que je peux aux limaces et autres mangeurs de feuilles, je me demande bien comment parvenir à ce but.

« En maillant rapidement l’intégralité de notre territoire de Chantiers Écologiques Massifs ponctuels, des CEM. Tous les habitant-e-s volontaires pourront y participer bénévolement sur plusieurs jours ou semaines, pour créer des FEP, des Fermes Écologiques de proximité, ou pour aider des structures agricoles déjà existantes à se développer. »

◆ La sécurité alimentaire : un enjeu primordial

L’objectif final d’un Chantier Écologique massif est d’assurer la sécurité alimentaire de la population locale autour de chaque ferme, pour éviter ou amortir les crises à venir.Tout en partageant des connaissances en matière d’agriculture respectueuse de la terre et de ses habitant-e-s, en créant de l’emploi local et durable, et en apprenant à se passer du pétrole.

« Parce que si ce-dernier venait à manquer, toute la chaîne de production, de distribution et d’accès à la nourriture serait perturbée, voire bloquée. On devrait tous pouvoir se procurer de la nourriture, dans l’idéal, à pied. Et se passer des produits pétrochimiques pour la faire pousser » m’explique Boris.

Boris voit grand et au fur et à mesure qu’il m’expose ce projet collectif, des frissons me parcourent l’échine tellement sa motivation est contagieuse. Mais comment participer si on avait envie de passer à l’action ?

◆ Pour participer à un Chantier Ecologique Massif

« Tu peux t’inscrire sur le site consacré aux CEM et devenir un « CEMeur » ou une « CEMeuse », c’est à dire aller donner du temps et de l’énergie sur un Chantier déjà crée ou prévu. De quelques jours à quelques semaines.
Mais tu peux être aussi une « CEMence ». Impulser la création d’un chantier, en trouvant un lieu qui en a besoin, des volontaires, le budget, le matériel, des partenaires avec des élus, entreprises, associations ou autres.
Et bien sûr, tu peux être une ferme « HÔTESSE », qui va accueillir le Chantier. Il arrive que la ferme Hôtesse soit aussi la CEMence. 
»

Génial, je vais aller m’inscrire à un petit chantier cet été, pour travailler 3-4 heures par jour en échange du gîte et du repas, et j’en profiterai pour aller visiter les environs !

Mais Boris me prévient : « Ne crois pas qu’un CEM, c’est du WWOOFING. On est là pour bosser à fond 7 à 8h par jour. Sauf en cas de souci de santé bien sûr, on n’est pas des tyrans ! Mais nous considérons cela comme une mission d’intérêt public urgente, afin que chacun et chacune puisse dès que possible manger localement, sainement et durablement à sa faim. Après un CEM, ce sont aussi des emplois qui sont créés ».

◆ Un événement imprévu : le confinement

Chez Etika Mondo, on souhaitait commencer le premier chantier en avril 2020 avec 500 personnes, mais le COVID-19 et le confinement ont changé les plans. Sans les annuler ! Dans leur association, la ténacité est de mise : « Nous sommes toujours déterminés à parvenir à ce but et travaillons sur toutes les solutions pour le rendre possible, en lien avec les pouvoirs publics, les habitant-e-s, les associations, les artistes, les clubs sportifs et les entreprises. Le but à terme étant de pouvoir faire des chantiers à plusieurs milliers de personnes. »Si tous les manifestant-e-s pour défendre le climat ou la biodiversité participaient à un CEM, notre pays changerait concrètement en peu de temps.

En attendant, plusieurs CEMs composés jusqu’à quelques dizaines de personnes se sont créés ou en sont au stade de « CEMence ». Boris annonce à ce jour une dizaine de chantiers commencés d’ici fin août, et de 50 à 100 CEMences avant octobre, notamment en Corse, en Bretagne, à Cambrai et dans la région lyonnaise.

◆ Le premier CEM en Essonne à Saint-Yon

Après avoir fait un premier chantier chez Etika Mondo à dix personnes début juin, pour éclaircir la clairière du prochain espace agricole et construire une clôture en bois, c’est à Saint-Yon en Essonne, que le premier véritable CEM extérieur à la structure de départ a été mis en place sur le site de Fermelt. Vous pourrez en découvrir le fonctionnement dans cette vidéo tournée pour Nexus par Alexandre Boisson de SOS MAIRES.

Mélanie Loquet et Mike Metz, co-fondateurs de Fermelt, sont à l’initiative de ce chantier. Au bout de cinq semaines d’expérimentation, le bilan est plutôt positif.

« Le fait qu’une soixante de personnes soient venues nous aider le temps d’une demi-journée à un mois entier nous a permis d’accélérer l’installation technique et agricole sur le site. Cela fait un an et un mois que nous travaillons sur 1,6 hectares de prairie, essentiellement à la main. Ce qui prend évidemment plus de temps qu’avec des machines. Nous fournissons actuellement deux AMAP en légumes pour une soixantaine de familles. Nous espérons d’ici l’année atteindre entre 100 et 150 familles. Certains Amapiens sont d’ailleurs venus nous donner un coup de main sur le chantier. D’ici quelques semaines, nous espérons créer une autre AMAP et deux ou trois emplois en matière agricole et pédagogique.
Le CEM nous a donné envie de transformer notre ferme en chantier-école par la suite, c’est à dire en lieu d’accueil pour former des personnes stagiaires ou en transition, à la protection et la régénération de la biodiversité. 
»

Mais pour Mike et Mélanie, hors de question de faire payer le transfert de connaissances ou de savoir-faire pratique que nos ancêtres se transmettaient entre générations.

« Pour financer ce travail d’intérêt général, en plus des fonds qui nous versés par les Amapiens, nous demanderons des subventions nationales ou européennes, et chercherons des mécènes engagés.
Beaucoup de volontaires veulent aider et apprendre, car certains veulent s’installer par la suite sur leur propre terre, ou changer de vie.
Ne nous leurrons pas, nous n’avons pas affaire à des ouvriers agricoles. Il faut environ 4 à 5 CEMeurs pour faire le travail d’un professionnel et au final, nous n’avons pas gagné énormément de temps. Et nous avons été également limités par nos infrastructures telles que les toilettes, la douche, les endroits où dormir : seules vingt personnes pouvaient venir à la fois. Si nous voulions recommencer à plus grande échelle, cela demanderait quelques améliorations. »

Mais l’équipe du CEM de Saint-Yon est ravie de cette expérience qui devait se terminer le 27 juin et qui va finalement se prolonger face à l’engouement des volontaires. Par ce troc d’énergies, qui s’opère sur leur site de manière « coopérative, non-hiérarchique et organisée » chacun-e contribue à dessiner dans la réalité le paysage nourricier de demain.

◆ Des chantiers à la fois reliés et indépendants

« Nous avons conscience que nous ne pourrons pas tout gérer seuls, même si aujourd’hui Etika Mondo s’est développé, et se compose de 5 membres permanents et de 30 personnes actives. Et nous ne souhaitons pas être dogmatiques » m’explique Boris.
S’il y a une charte à signer quand on intègre le réseau CEM, ainsi que des documents et vidéos méthodiques en cours d’élaboration destinés à faciliter la transmission de la méthodologie, chaque Ferme hôtesse reste souveraine. Par exemple, sur le chantier de Fermelt, avant de se mettre au travail, il y a un moment consacré à l’harmonisation des relations humaines, ce qui en fait sa particularité.

Plus les CEM seront nombreux, plus il y aura de façons de faire, et plus chaque lieu pourra s’enrichir de l’expérience des autres s’il le désire. Et le lien hebdomadaire à distance permis par les visioconférences en favorisera la transmission.

« Le but d’un Chantier Écologique Massif, c’est se regrouper pour soigner, préserver ou régénérer la terre et repenser le rapport de l’humain face à cette terre. A la base, ça peut donc être nettoyer une rivière, une forêt, faire de l’éco-construction. Mais pour nous, la priorité, c’est recréer du lien entre l’humain et la terre au nom de notre sécurité alimentaire. En cas de crise climatique, économique, ou géopolitique qui produirait une rupture du système d’approvisionnement, nous serions aujourd’hui complètement largués. D’après une étude de l’agence Utopies dirigée par Elisabeth Laville, en moyenne l’autonomie des aires urbaines est de 2,1%.En cas de rupture du système, seules deux personnes sur 100 pourraient manger.»

Je préfère ne pas imaginer dans quel état se mettraient même les plus gentils d’entre nous, pour manger ou faire manger leurs enfants, une fois leur estomac vide… Des extraits du film « La Route » me viennent malgré moi en tête.

Et si quand bien même aucune crise n’arrivait, recréer du lien et de l’emploi autour d’une alimentation saine et locale ne serait-elle pas bonne pour notre moral et notre santé ?

Alors, dès aujourd’hui, sans tarder et massivement, CEMons !

Estelle Brattesani

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